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L’alimentation influe la santé mentale de façon relativement simple. Dans un premier temps, 20 % des nutriments ingérés servent directement à nourrir le cerveau. Les acides aminés, les gras, les vitamines et les minéraux servent autant pour sa structure que pour son fonctionnement. Aux yeux des chercheurs, une alimentation complète composée de légumes, de fruits, de grains entiers, de noix, de poissons, de viandes maigres et surtout comportant peu d’aliments ultra-transformés maximise la résilience face aux problèmes mentaux. Je me suis toujours intéressée à la nutrition. Au moment de faire ma formation comme Technicienne de la diététique, l’alimentation était directement liée à la santé physique, les maladies du cœur, le diabète, l’obésité, … Aujourd’hui, les chercheurs s’intéressent de plus en plus aux effets sur l’humeur, la dépression, l’anxiété. Selon mes observations des 25 dernières années, l’alimentation est directement liée à l’ensemble du corps physique, mentale et énergétique. J’ai observé mes propres comportements selon les aliments ingérés sur des périodes définis. As-tu déjà remarqué que certains aliments avaient aussi un effet sur ton comportement ? Maintenant, pour mon bien-être physique et mental, certains aliments ne font tout simplement plus partie de mon alimentation quotidienne. Les produits laitiers, par exemple, me sont inflammatoires et m’embrouillent l’esprit. Le gluten est aussi inflammatoire, mais plutôt que de le ressentir dans les articulations, je le ressens dans mes organes. Je me sens moins concentrée, moins présente, moins déterminée. Addictif comme la cigarette Savais-tu que les aliments ultra-transformés sont considérés addictifs autant que la cigarette ? C’est assez facile à croire puisque le cerveau enregistre ce que tu manges. Comme il a besoin de sucre et de gras, il est facilement trompé par la malbouffe offerte. Ce disant devant une banane qu’elle n’est pas suffisamment sucrée ou que les noix ne sont pas assez grasses pour combler ses besoins nutritionnels. Pour le cerveau, les bonbons et les poutines comblent davantage ce besoin de sucré, de salé et de gras. Alors qu’il n’y pas de nutriments dans ces aliments ultra-transformés. Une méta-analyse de Nutrients démontre qu’une alimentation composée à 33 % d’aliments ultra-transformés est directement lié à la hausse de 44 % de la dépression et responsable d’une hausse de 48 % de l’anxiété. Ce qui revient à dire que si l’alimentation est améliorée considérablement, la résilience à la dépression et à l’anxiété est augmentée. Comme tout changement d’habitude, cela demande du temps, de la persévérance, de l’engagement et de l’amour pour soi. Qu’est-ce qu’un aliment ultra-transformés ? Ces aliments contiennent des ingrédients extraits des aliments, ajoutées à des graisses et fabriquées en laboratoire, en usine. En somme, de longs noms imprononçables, des sucres, des graisses, des rehausseurs de goût et du colorant. Ces fats-food, sont conçus pour être savoureux et peu dispendieux, une bonne recette marketing. Quels nutriments à privilégier ? Les omégas Les Oméga 3 et 6 ne sont pas synthétisés par le corps, donc il nous faut en consommer pour répondre au besoin nutritionnel. Ils se retrouvent dans les poissons gras comme le saumon aussi, la truite, les sardines, les noix dont les noix de Grenoble, les graines de lin et les autres, les œufs enrichis d’oméga-3. Vitamines B, zinc, magnésium et autres Le Zinc intervient entre autres dans la fonction neurologique et du système immunitaire. Un manque de cet oligo-élément peut être la dépression, l’irritabilité, perte d’appétit… On le retrouve dans les graines de sésames, de citrouille, les pains et céréales à grains entiers, la viande de bœuf, les fruits de mer. Le magnésium est considéré manquant chez 3 femmes sur 4. Ce qui peut apporter un état de fatigue, d’anxiété. Un simple poignée de noix du brésil, de cajou, d’amande, de graine de tournesol, de noisette, d’arachide en collation et mélangés dans les salades sont d’excellentes alliées pour couvrir les besoins quotidiens. Comme les fruits de mer, les produits céréaliers à grains entiers, les légumes frais et secs dont les épinards et les haricots blancs cuits, les fruits frais et secs, comme la banane et les figues. Les vitamines B nommées aussi les vitamines bonheur devraient faire partie de vos apports quotidiens. Les signes liés à un manque de vitamines B sont la faiblesse, les troubles de l’humeur, les problèmes de concentration, de mémoire, les difficultés d’apprentissage, l’anxiété, la dépression, les problèmes de sommeil. On les retrouve dans les légumes, dont les asperges, les crucifères, les champignons, les pommes de terre, les légumineuses, les œufs, le poisson, les noix, la viande maigre, les fruits comme les bananes. En bref, si votre alimentation s’apparente au régime méditerranéen. Il est riche en fruits, en légumes, en grains entiers et en noix. Il contient une quantité modérée de poissons, d'huile d'olive, ainsi qu'une faible consommation de produits laitiers et de viande, vous devriez avoir une alimentation saine et bénéfique. Et, le microbiote ? Le microbiote est le nouveau nom à la mode pour parler de la flore intestinale. C’est non seulement à la une, mais également de plus en plus étudié. On sait maintenant que l’intestin communique avec le cerveau et vice et versa par le nerf vague. Pour faire très simple, l’axe intestin-cerveau envoie toutes sortes de messages pouvant entre autres déclencher les hormones du stress, et ainsi favorise un état anxieux. De cette façon, l’équilibre bactérien offert par l’alimentation saine contribue à envoyer des signaux favorisant la stabilité de l’humeur. Sachant que la sérotonine est à 90 % fabriqué dans l’intestin, cela semble logique qu’une bonne structure bactériologique soutient les bons neurotransmetteurs au cerveau. Plusieurs articles sur ce sujet parlent de l’importance d’une alimentation saine pour la santé physique. Et, même si les études sont encore nouvelles au sujet de la santé mentale, il est fort à parier qu’elles seront vérifiées par millier sous peu. Dans tous les cas, qu’avons-nous à perdre de manger des aliments provenant de la nature dont la liste d’ingrédients est la plus courte possible et dont on reconnait les noms ? En terminant, un défi pour toi Je t’invite à observer ton comportement et ceux de ton entourage, tes enfants et à faire des corrélations entre les aliments que tu, ils ingèrent. De petits changements peuvent apporter une grande différence sur leur concentration, leur attention, leur crise de colère, l’opposition et leur manque d’énergie. Il peut être intéressant d’inscrire les repas et collation sur un tableau, un calendrier ou un calepin, d’y ajouter les humeurs. Faire cet exercice sur quelques semaines et voir si les humeurs semblables sont souvent liées aux mêmes aliments. L'alimentation et l'anxiété La base, les besoins fondamentaux sont le premier réflexe à analyser avant toute autre solution pour aller mieux et vivre plus calme. Tu peux comprendre à la lumière des informations qu'effectivement l'alimentation et l'anxiété peuvent être liés. Mais également le sommeil, la sédentarité, l'entourage. Bien que ta routine et l’hygiène de vie est adéquate, l’anxiété est présente ? La confiance en soi n’est pas au rendez-vous ? Je t’invite à m’écrire pour voir comment je peux t’aider. Bonne observation ! Véronique Martel 💜💫 Naturothérapeute praticienne hypnose HYCIE Praticienne Access Bars

“Le bonheur est dans les petites choses” presque tout le monde a déjà dit ça ! Mais, qu’est-ce que ça veut vraiment dire et pourquoi, comment ça fonctionne ? Le bonheur est dans une multitude de petites actions, paroles, réactions, comportements, attitudes. Cette décision que l’autre a prise de nous procurer ce plaisir, peu importe la manière. Un mot doux. Un câlin. Un cadeau. Un voyage. Un regard. Un repas. … Encore plus simple, tu peux toi aussi t’offrir ces moments de bonheur quotidiennement sans avoir d’attente envers l’autre. Les grandes responsables de cette sensation de bien-être sont les hormones du bonheur. Le mode de vie, les exercices, l'alimentation sont des moyens de libérer ces hormones qui contribue au bonheur. Les hormones du bonheur qui sont-elles ? L’ocytocine Aussi connue sous le nom d’hormone de l’appartenance. Cette hormone est présente dans le contact peau à peau des parents et de leur nouveau-né. Elle est sécrétée dans l’allaitement et l’accouchement. Une fois que nous grandissons et que nous ne sommes plus des nourrissons, il est possible d’en sécrété tout autant. Par exemple, quand on donne de l’affection, qu’on a une discussion agréable ou que l’on caresse un animal contribue à la production de cette hormone de l’amour. L’ocytocine a un pouvoir merveilleux en réduisant le niveau de cortisol et la sensation de stress. Elle régule les pics d’émotions en renforçant la confiance en soi, ce qui contribue à obtenir de meilleures connexions avec les autres et à développer de l’empathie. Comment sécréter de l’ocytocine ? Dire de mots affectueux de manière sincère, ressentie. Embrasser nos proches, notre amoureux, amoureuse En discutant de façon agréable, amicale En étant écouté et compris Créer des ambiances qui nous réchauffent le cœur, agréables. En partageant de petits plaisirs, un repas par exemple, en bonne compagnie. En entrant dans une eau chaude, un bon bain ou un spa Bouger pour dépenser de l’énergie Chanter et danser comme si personne ne nous voyait, entendait. En recevant ou en procurant un massage Jouer avec nos enfants ou des enfants Écouter de la musique Caresser un animal L’endorphine Celle-ci est le bouclier au stress. Son nom est apparenté à la morphine ce qui en fait un antidouleur naturel. Cette hormone est sécrétée pendant l'activité physique, mais également avec le rire qui fait travailler des muscles profonds. Même la musique ou un bon film peut contribuer à la sécrétion des endorphines et nous faire oublier la douleur, le stress le temps de cet instant. Alors, que peut-on faire pour sécréter plus d’endorphines ? Se faire du bien par le massage, les soins énergétiques, les spas Faire des exercices de respiration, du yoga, de la méditation, des étirements Faire toutes activités qui nous plaisent et qui nous satisfont. Manger un bout de chocolat, danser, chanter, faire l’amour, prendre du soleil… Aider les autres à se sentir bien Faire des activités amusantes, rire, avoir du plaisir, sourire Faire du sport Pleurer un bon coup Se souvenir de moments heureux J’aime la thérapie par le rire quand la tension est palpable en moi ou avec mes enfants. C’est-à-dire que je simule un fou rire, je fais donc semblant de rire à pleins poumons jusqu’à ce que je rie franchement, de même que mon entourage. Ça change l’atmosphère et l’état interne rapidement. Les biens faits de l’endorphine sont la baisse des effets néfastes des hormones du stress. Elle renforce le système immunitaire et baisse la pression artérielle. Elle augmente la sensation de plaisir et retarde le processus de vieillissement. Dopamine C’est celle qui suscite cette sensation d’euphorie quand on réussit un défi, lorsqu'on gagne à un jeu, alors que l’on trouve quelque chose que l’on cherchait. C’est l’hormone de la récompense à une réussite. Ainsi, elle est présente lors du succès. C'est aussi elle qui nous incite à chercher cette victoire et être récompensé, elle est donc liée à la motivation. La dopamine a un double tranchant, puisque le cerveau ne fait pas toujours la différence entre ce qui est bien pour nous et ce qui ne l’est pas. L’addiction, par exemple, existe parce qu’elle stimule la récompense. Loretta Breuning, Ph D dit : « Si la dopamine d’un lion était tout le temps active, il courrait après tout, tout le temps, et n’aurait pas l’énergie nécessaire pour l’emporter face à une cible de choix. » La fonction de dopamine est la gestion du système de récompense. Au moment de faire des actions que notre cerveau considère bénéfique, il libère de la dopamine. Ces actions peuvent être la réponse au besoin de base comme manger, boire et dormir ou ceux que nous avons acquis par le monde extérieur. C’est cette réaction à la dopamine qui nous motive à recommencer. Exactement comme nos ancêtres ont été incités à aller chasser, comprenant qu’il pouvait s’en nourrir et aller de mieux en mieux. Alors comment sécréter de la dopamine en toute conscience. Célébrer les réussites quotidiennes, si minime soit-elle et se dire, même mentalement, « J'ai réussi » « Je l’ai fait » Se connecter, visualiser la sensation de la victoire. Ressentir l’émotion positive, et ce, à chaque jour Sérotonine Celle que l’on nomme comme étant l’hormone de la stabilité et de la sécurité. Elle est associée à l’humeur, elle peut donc aussi avoir un effet sur l’appétit et le sommeil par exemple. Curieusement, la sérotonine est l’hormone ressentie quand nous sommes en plein pouvoir de notre vie. Quand on sent que nous sommes respectés et aimés. Quand nous nous sentons en sécurité et pouvant subvenir à nos besoins fondamentaux, répondre à nos désirs. Ce qui pousse l’humain à vouloir plus et monter dans la hiérarchie sociale. Un phénomène plutôt mal perçu par plusieurs et pourtant à la base de l’évolution. Alors que les humains freinent ce plaisir du roi de la montagne, il enrichisse la confiance sociale et la sécrétion d’ocytocine au détriment de la sérotonine. Tandis que nous pourrions avoir les deux ! Comment faire pour sécréter de la sérotonine ? En cultivant la fierté de soi. S'octroyer un moment à profiter d’un rayon de soleil sur sa peau Faire une activité qui dépense de l’énergie, comme une rando, du yoga, de la course Méditer Prendre soin de soi, en visant l’état de santé optimal. Accepter sa condition sociale. Pour y parvenir, chercher les avantages de ce statut et soyez en fière. Planifier un moment dans la journée où lâcher prise sur le contrôle et ne rien faire, observer. Souvent, j’invite mes clients à écrire quotidiennement une bonne action, une réussite, un geste pour lequel ils sont reconnaissants. Le but étant de valoriser ces moments constructifs comme étant réalisé par soi, notre création. Faire naitre ce sentiment de fierté d’être à l’origine de ce beau geste, cette sympathique action, et ce, sans attendre que les autres le remarquent ou même partage notre sentiment. L'hormone par excellence du stress, le cortisol. Cette hormone fort utile fait circuler les messages d’urgence pour passer directement à l’action sans réfléchir. Et, ainsi, éviter les menaces à notre survie. Ce sont ces menaces que nous percevons comme désagréables, qu’elles soient réelles ou imaginaires. Ces sensations perçues envoient le signal du danger à notre cerveau et le cortisol fait son travail en envoyant les directives pour nous sauver de cette situation procurant les sensations désagréables. Il agit aussi dans beaucoup d’autres aspects de notre corps comme la glycémie, l’état veille-sommeil, la mémoire, la concentration, la gestion du poids… Le souci avec le cortisol est que si nous ne prenons pas le temps de faire diminuer la jauge du stress par de petits moments de bonheur au quotidien, le niveau de cortisol ne fait qu’augmenter. Jusqu’à dérégler notre système et nous épuiser. Comment baisser le cortisol dans le sang ? Miser sur les hormones du bonheur Faire de l’activité physique, sport, étirements, marche, course, yoga, arts martiaux, natation, danser Prendre soin de soi, méditation, massage, bain chaud, bien s’alimenter, dormir suffisamment Jouer, s’amuser, rire, chanter Passer du bon temps avec les ami.es Accepter les sentiments désagréables comme faisant partie de la vie Par quoi commencer pour être plus heureux ? Par un petit pas à chaque jour. Choisi pour chaque hormone, un changement que tu peux commencer à t’approprier. Un ingrédient de la recette du bonheur qui te semble le plus accessible pour débuter. Et, chaque jour décide de la refaire, et de la refaire encore le jour suivant. Prendre cette décision quotidiennement est un petit pas vers un grand changement. Comme pour tous les grands changements, le temps est ton meilleur ami. Aussi, sache que ces hormones ont été créées pour libérer leur substance bonheur à petite dose courte. Il est donc normal que la sensation de bien-être soit éphémère. C’est pourquoi, nous devons répéter et répéter encore et encore les petites actions qui contribuent à leur circuit de libération. Notre société amorce un grand virement zen. Il n'est pas rare d'entendre parler de méditation, de sophrologie, de respiration. Voir des personnes dans notre entourage faire les choses autrement. Chacun à sa façon, on fait la guerre au stress. Souvent encore, nous pensons à tort que la contribution au bonheur est extérieure à soi. Que cette quête de biens nous offrira le salue au stress. Pourtant, la grande part te revient. Il n'est pas question d'avoir des pensées magiques ou positives. Ou d'éviter de vivre des émotions dites « négatives », ce qui est impossible et toutes les émotions existent pour nous informer sur nous-même. À la lecture de toutes ces informations sur ce que je considère à la base du bonheur, il peut être intimidant de trouver la meilleure démarche pour soi pour entamer ces changements. Par exemple, si vos relations avec les autres sont sources d’inconfort, il peut devenir essentiel de consulter un thérapeute puisque les relations influencent notre bonheur. Avec l'hypnose, il est possible de travailler nos réflexes à voir le verre à moitié vide et penser généralement sous une forme plus contraignante que libératrice. Les hormones ne sont pas ma spécialité. Cependant, la quête du bonheur en soi est au cœur de mon travail et mes recherches sur ce sujet m’ont conduit à lire sur les hormones. Ce blogue représente les grandes lignes du résumé des observations sur mes lectures. Véronique Martel 💜💫 Naturothérapeute praticienne hypnose HYCIE Praticienne Access Bars Enseignante de yoga, méditation pleine conscience pour enfant. Ambassadrice de L’Univers Attentif et Heureux pour les écoles et les familles Voici des articles intéressants sur le sujet. Comment vivre heureux grâce à nos hormones ? | National Geographic Cortisol - Symptômes, Causes et traitements (vulgaris-medical.com) Le cortisol ou l'hormone du stress : comment nous affecte-t-il et que pouvons-nous faire pour le contrôler ? - Psychologue.net

Excellente question ! Mais, d’abord, éclairons les termes et établissions les différences. L'amour de soi L’amour de soi réfère à l’amour-propre, à l’amour de soi-même. Il est considéré comme une composante essentielle à notre bonheur, à notre réalisation personnelle. Il contribue à notre bien-être général. Ce n'est pas rien ! L’amour-propre est directement en lié à la valeur que l’on se porte et à la connaissance de soi. Voici l’essentiel pour développer cet amour de soi-même. Être juste envers soi, Respecter son identité et son jardin intime Considérer sa santé physique, mentale et spirituelle Connaitre ce qui nous intéresse et s’octroyer des périodes à faire ce qui nous plait véritablement. Amour de soi, est-ce égoïste ? Pour que ce soit très clair, voici ce qu’est l’égoïsme. Être égoïste, c’est penser qu’à soi sans tenir compte de ceux autour de soi. Cette attitude entraine des relations négatives avec les autres, mais également peut causer des réactions émotionnelles nuisibles chez l’entourage. L’égoïsme peut être remarqué de différentes manières. Une personne indifférente au besoin des autres. Une personne manipulatrice, qui abuse de son pouvoir, jalouse. Quelqu'un qui recherche excessivement la gratification personnelle, qui cherche à dominer l’autre, qui envie les autres. Un homme ou une femme égocentrique, qui ramène tout à soi, qui croit être supérieur aux autres, qui s’écoute parler sans entendre les autres qu’il pense aimer. L’amour de soi est une attitude positive qui permet de s’épanouir et d’être heureux avec soi et avec l’entourage. Rien à voir avec l'égoïsme. Ici, il n'est pas question de l'égo, un côté de notre personnalité qui nous incite à passer à l'action avec la tête plutôt que le cœur. Bientôt, nous parlerons de ces personnages internes qui poussent à l'action. Mais, revenons à l'amour de soi. L'influence de s'aimer mieux Je suis ce que je pense Je pense ce que je ressens Je ressens ce que je dégage Je dégage ce que je suis À la lumière de ces affirmations, de ces mots, tu vis peut-être un inconfort. Tu prends conscience que tout est en dans tout. Ou tu le savais déjà ?! Si tu es ce que tu penses, que tes idées sont claires et tes pensées positives, calmes et douces. Tu ressens donc de la reconnaissance, de la paix, de la fierté, et quoi encore ? Tu dégages, tu rayonnes la puissance de l’amour de soi, la confiance en soi. Tu es rassurée, proactive, en mode solution, tu avances vers ta réussite personnelle. Tu fais des choix alignés sur tes valeurs, qui te stimulent et qui contribuent à ton cheminement vers tes objectifs de vie. Le monde que tu expérimentes, avec qui tu vis, tu grandis est le reflet de qui tu es. Certainement parce que tu rayonnes de ton positivisme, mais également puisque tu t'entoures de ce dont tu as besoin. Je t’invite à accueillir cette vérité que tu perçois de toi en ce moment. Prends le temps. Observe ce qui est présent en toi, le sentiment, l'émotion, la réaction, le ressenti. Ferme les yeux ou relis ce début de texte pour te permettre de bien réfléchir et intégrer l’information. Ressens-tu que tu es alignée sur ces choix que tu fais ? Penses-tu que ton entourage est celui dont tu as besoin pour avancer ? Crois-tu que tu as tout pour te réaliser pleinement ? La bonne nouvelle est que tout change. À commencer par toi, tes pensées, tes actions, tes paroles… Il y a toujours ces possibilités de faire mieux, pour s’aimer mieux, tout le temps. Voici ma recette secrète pour s’aimer mieux : Pratiquer la pleine conscience, l’attention du moment présent. Développer cette attention des pensées et se ramener vers ses objectifs Maintenir cet équilibre entre ses besoins et ses choix Demeurer aligner sur ses valeurs Prendre soin de soi et s'arrêter pour combler les besoins de base. Manger, dormir, bouger, intimité, amitié S’entourer de personnes positives qui motivent, encourageant et supportent dans ses réalisations et son développement personnel. Accepter sa progression, ses défis avec compassion, sans jugement ni comparaison. Respecter ses limites et ses besoins. Apprendre à dire non lorsque tout en soi vibre le non ! Cultiver ses intérêts, les nouvelles connaissances, ses passions Découvrir régulièrement un nouvel objet, une nouvelle activité, un nouveau mets… Un trou noir Quand une fosse se creuse dans notre amour-propre, on cherche à combler l'obscurité avec ce qui est l’extérieur, par toutes sortes de moyens. Ce vide affectif est à remplir par tous les moyens possibles et imaginables, prête à tout pour se sentir entière, libre et rassurée. Alors que tout est en soi, que nous le savons au plus profond du cœur, ce qui doit être mis en place pour se connecter à notre essence. Cette intuition qui nous échappe quand on traverse la vie sur le pilote automatique. Il est venu le temps de rallumer cette braise ardente, de faire chauffer ton étincelle intérieure, de reconnecter avec ton authenticité. Faire rayonner sa lumière En prenant le temps du moment présent, pour t’enraciner dans cette énergie de respect, de confiance en soi, d’estime de soi, pour t’aimer mieux. Tu rayonnes et encourages l’entourage à faire de même pour soi, mais également envers toi. Ainsi, tu attires des personnes qui te respectent, qui te font confiance, qui remarque ta valeur et qui aime qui tu es. C’est avec cette pleine conscience de qui tu es, de ta valeur, que tu nourris ton feu et prends ta place dans ton monde. C’est peut-être le moment de te faire accompagner pour transcender cette étape, pour te donner un coup d’air sur la braise, pour l’aider à s’enflammer. L’accompagnement peut t’aider à te connaitre, à apprendre plus sur toi et te permettre de trouver le filon pour faire autrement et aller de mieux en mieux. De quoi as-tu besoin pour vivre mieux ? En terminant, la vie est changement La vie est remplie de surprise, de défi qui viennent nous challenger. Et, nous n'avons aucun contrôle là-dessus. Cependant, quand nous sommes ancrés, quand on se connait, quand on croit en nous, la traversée de ces tempêtes est moins pénible et les houles sont moins profondes. En gardant à l’esprit que tout est changement. Que la vie est un cycle de début et de fin, de recommencement. Tu te concentreras sur qui tu es fondamentalement pour faire les meilleurs choix dans les circonstances, et ainsi apprendre des situations qui forment les chapitres de ton histoire. Je te remercie de tout cœur d’être présent pour toi et de lire mes articles pour t’accompagner. Véronique Martel 💜💫 Naturothérapeute praticienne hypnose HYCIE Praticienne Access Bars Enseignante de yoga, méditation pleine conscience pour enfant. Ambassadrice de L’Univers Attentif et Heureux

Je suis une personne nostalgique. J’aime revenir sur le passé et me remémorer les souvenirs de mon enfance, de mon adolescence, de ma vie de jeune adulte, de la naissance de mes enfants, de leur petite enfance… J’ai encore des amis de la petite école et de l’école secondaire. Pour certains, la nostalgie est décrite comme néfaste et pour d'autres comme bénéfique. Que serait-on sans les souvenirs ? Possiblement, une coquille vide, des automates qui font ce qu’ils ont en faire sans sentiment, sans émotions. Les souvenirs sont des traces dans notre mémoire qui nous rappellent un évènement ou une personne du passé. Alors, ils peuvent être agréables ou désagréables. Certains le savent, mon film d’animation préféré est Sans dessous dessus. On y comprend bien le phénomène de souvenir, de mémoire et d’émotion. Quel le lien entre un souvenir et la nostalgie ? La nostalgie, à son origine, fait référence au mal du pays, mais également au regret d’une personne, d’un lieu ou d’une situation. Cette définition de la nostalgie a évolué depuis le temps de la guerre lors de son invention. Elle n’est plus nécessairement accompagnée d’une tristesse infinie et d’une souffrance accablante. Ce sentiment qu’est la nostalgie est un phénomène humain naturel et vécu par tous. Chacun le vivant à différents niveaux selon les souvenirs. Généralement lié à la mémoire d’un passé, générant des sentiments agréables. En repassant à des évènements de ma petite enfance vécus comme heureux. Par exemple, une fête de Noël chez mes grands-parents me procure des souvenirs de bonheur, de douceur et de tristesse pour mes grands-parents décédés. Ce souvenir, que je me remémore de façon agréable, est biaisé par les sentiments reliés à celui-ci. Si je demandais à ma cousine, ses souvenirs de ce même évènement, ils seraient différents, en partie ou en totalité. Une question de perception ! La nostalgie peut aussi être déclenchée par le parfum d’un passant, une chanson qui passe à la radio, la vue d’une image qui ramène à la mémoire un souvenir. Elle peut être confortable, agréable ou inconfortable et désagréable. Y a-t-il un danger à la nostalgie ? Certainement ! En ce sens où la remémoration de certains souvenirs douloureux qui fait monter de la tristesse peut nous empêcher d’avancer en laissant un sentiment actuel de peur par exemple. Nous laissant dans un état de déprime, voire de dépression. Se sentant seul et contribuer à sa solitude en s’isolant. Ainsi, vivre dans le passé, apporte à vivre de l’anxiété. Il est important de revenir sur le fait que chacun de nous vit de la nostalgie à différents niveaux selon le souvenir et le moment où on se souvient de ce souvenir en question. Et, ce, dans une même vie. C’est dire qu'un certain souvenir, procure une nostalgie agréable et à un autre moment de la vie, il pourrait être désagréable. Échanger avec les autres de ce moment vécu en commun, pour en connaitre leur perception et mieux se comprendre est une piste pour sortir de cet inconfort. Lorsque ce souvenir est vécu seul, il est intéressant de chercher de l'aide pour mettre en mot le ressenti et trouver la force de revenir au présent. L'écriture d'un souvenir peut aider à comprendre les émotions ressenties et à retrouver une paix, un sens à la vie. Quels sont les bienfaits de la nostalgie ? En considérant que les souvenirs nostalgiques sont réjouissants, ils peuvent nous apporter du réconfort en des périodes plus difficiles. En partageant ces souvenirs avec des amis ou de la famille, ce moment renforce nos liens avec ces personnes et contribue à nourrir le sentiment d’appartenance. J’ai effleuré plus haut que les souvenirs sont souvent biaisés. La nostalgie apporte le volet créativité à des souvenirs heureux qui, lorsque racontés, seront bonifiés par notre créativité reliée à nos émotions agréables. Ce qui nous procure du bien-être, un possible sentiment d’appartenance, une sensation d’être un acteur important et contribue à définir qui nous sommes à travers ce vécu. Ainsi, la prochaine fois que l’histoire sera racontée, elle aura un p’tit quelque chose de neuf, complètement inventé par notre cerveau. Et, qui a du sens dans l’histoire. Possiblement que les acteurs de ce moment raconté, présents, penseront, eux aussi, que cette invention, c'est réellement passé. Un souvenir raconté autour d’une table par les acteurs eux-mêmes, devient une romance de ce moment réel dont personne détient le texte original. Chacun y mettant un ressenti, un sentiment, sa perception et conjointement, l’histoire se module, se crée, se modifie. Chacun pensant avoir rectifié la direction dans son juste sens au grand rire et bonheur de tous. Qui sommes-nous sans notre passé ? Les souvenirs sont à la base de l’être que nous sommes. Agréable ou désagréable. Confortable ou inconfortable. Sans eux, nous sommes juste des corps qui avancent dans un monde sans couleur. La mémoire humaine n’est en rien comparable à celle d’un ordinateur. Notre mémoire est composé par les images, les sons, les odeurs, les personnes, les lieux. Et, tout ça, est malléable et s’ajuste aux significations qu’on leur accorde, aux circonstances aussi et aux ressentis, sentiments. De fait, certains souvenirs peuvent entièrement être le fruit de notre imagination. Moulées par l’environnement, les croyances, les ressentis, il y a cette possibilité que cette personne n'a pas dite ce que tu crois qu'elle t'a dit ou que la situation ne s'est pas passée comme tu le penses. Et, ce souvenir inventé, modifié ou réel, laisse une trace, une blessure, une impression, une valeur ou contribue à bonifier un trait de ta personnalité. Comment utiliser la nostalgie Je te propose de cultiver les moments de nostalgie comme un entretien de ton mental, de ton âme. Se remémorer les souvenirs significatifs en parcourant un album de photo, une vidéo va certainement décrocher un sourire et une larme, un mélange de joie et de tristesse. Partager ses souvenirs avec ceux qui ont participé, contribue à remettre les histoires à niveau avec la version de chacun et permet de parfois dédramatiser cette situation et les émotions reliées. Comprendre certains de nos mécanismes de défense, de protection. Écrire nos souvenirs va aussi contribuer à mieux se connaitre, à découvrir des patterns, de prendre conscience de son évolution ou besoin de changer. Pratiquer la gratitude, reconnaitre ce que ses souvenirs ont apporté dans ta vie. Parce que oui, chaque évènement quel qu’il soit apporte du nouveau, un changement. Finalement, continues de créer des moments mémorables avec tes proches, ton entourage. Crée-toi des occasions de vivre des situations qui resteront gravées en toi pour y revenir, retrouver cette plénitude rassurante, pour te faire du bien et pour retrouver ce sentiment d’appartenance. Enfin, mes observations, mes réflexions et mes différentes lectures sur la nostalgie m'amène à penser qu'être nostalgique est un sentiment qui apporte des bienfaits dans la mesure où tu ne restes pas plongé dans le passé. Cette nostalgie agréable des moments d’exceptions contribue à mieux poursuivre tes objectifs de vie, ta mission de vie, d’être la meilleure version de nous-même. Alors, nourrissons-nous d'anecdotes, de moments heureux, de réflexion sur des périodes de nos vies et servons-nous-en pour nous faire du bien et chercher le changement, l'évolution de notre personne. Véronique Martel 💜💫 Naturothérapeute praticienne hypnose HYCIE Praticienne Access Bars Enseignante de yoga, méditation pleine conscience pour enfant. Ambassadrice de L’Univers Attentif et Heureux

Qui ne rêvent pas d’amour, d’argent, de pouvoir, procurant ce bonheur désiré ? Est-ce accessible pour nous tous ? Pour certains, apparemment, non ! Depuis un bon moment, il est encouragé à faire nos preuves et de se valoriser parce que l’on a et ce que l’on fait. Qu’est-ce qui défini la hiérarchie des actions et des acquis sur l’échelle du bonheur ? Comment savoir si je suis assez ? Alors, ce sentiment s’installe, la quête pour combler ce manque, la déception et l’envie de la cour du voisin. “Ce nouveau voisin qui vient d’aménager. Ils ont rénové la maison, aménagé l’extérieur et l’intérieur. J’ai bien vu tout ce brouhaha. Leur maison doit vraiment être incroyable. De l’avant, elle semble parfaite.” “Et, que dire de ce modèle de voiture dans la cour de mon ancien beau-frère et de la petite décapotable pour les journées cheveux dans le vent. haaaaaa ! Qu’il est chanceux !” “Dans la NBA, les joueurs de basket ont tous ce modèle de shoes. Même que certains joueurs dans mon équipe collégiale de basketball s’en sont procurés. Trop dispendieux pour mes parents. Comment ils font les autres parents ? Pourquoi les miens sont si pauvres ?” “Ma collègue de bureau sort avec cet homme top canon. Mon idéal d’homme, en forme et sympathique. Depuis des années, que je cherche sur les sites de rencontres, mais je leur trouve toujours quelque chose qui cloche. Ils ne sont jamais comme j’aimerais. Côté physique, mais également côté attitude, comportements. Mes amies mettent la pression pour que je me trouve un chum et que je finisse par me recaser. Je suis à la recherche de L’HOMME qui fera de moi LA femme le plus chanceuse aux yeux de tous. Pas question de vivre une autre relation catastrophique.” “Quand je regarde les autres parents dans les activités, j’ai ce sentiment que leur vie est tellement plus facile, leurs enfants beaucoup plus respectueux, et qu’ils écoutent les consignes.” Tu connais certainement une personne dans ton entourage qui a ce genre de discours. Peut-être est-ce toi ! Mais, que peut-on bien faire avec le sentiment de manque ? Cette impression que l’autre a trouvé le bonheur et pas nous ! D’abord qu’est-ce qu'un sentiment ? Un sentiment est un état durable, complexe, suivant une émotion. Au contraire d’une émotion, un sentiment n’a pas besoin de déclencheur extérieur, il est lié aux souvenirs, au ressenti, à l’imagination. Qu'est-ce que le manque ? Le sentiment de manque ? Selon le Larousse : le sentiment de manque se définit par l’absence péniblement ressentie d'une personne ou de choses qui laissent une impression de vide. Comment en finir avec le sentiment de manque ? Le sentiment de manque peut provoquer des émotions de colère, de tristesse, des sentiments de frustration, de culpabilité. À vouloir être, faire comme tout le monde, en adoptant les attitudes, les comportements enviés chez un autre, à obtenir LE cossin dernier cri pour être hot, la distance entre son essence profonde et la représentation de l’être se marque de plus en plus. Comme un fossé creusé entre qui je suis réellement et ce rôle joué devant les autres comme étant qui je suis. Actuellement et depuis quelque temps, on remarque qu’on commence à vouloir se connecter à qui je suis, à la nature, à notre essence. Plusieurs consultent parce qu’ils ne savent plus qui ils sont, ce qu’ils aiment Ce qui rend chacun unique est l’essentiel pour trouver sa propre recette de bonheur. L’entourage, les évènements, l'avenir sont imprévisibles, et donc incontrôlables. Ce qui est en notre pouvoir est ce qui se passe en nous. Nos pensées, nos comportements, nos paroles, nos choix, nos actions… La première étape est de prendre conscience que le sentiment de manque est un puits sans fond. Le mental fait en sorte de toujours être à la quête de quelque chose d’autre quand il obtient ce qu’il croyait espérer. Par conséquent, essentiellement, pendant que tu souhaites ce que le voisin a, le voisin désire avoir ce que tu as, que tu ne sais plus que tu as ! Me suis-tu ?? Je te rassure, plusieurs ont ce comportement à différentes intensités et l’entièreté de ces personnes n’ont pas atteint, et n’atteindront jamais satisfaction. Pourquoi ? Parce qu’ils voient le verre à moitié vide. La seconde étape est de trouver où est situé le sentiment de manque. Le manque d’argent Le manque d’amour Le manque de visibilité Le manque de reconnaissance Le manque d’amis de confiance le manque de quoi… La prochaine étape est de commencer à penser plus positivement. À poser des actions qui vont contribuer à gagner en confiance. Reconnaitre ce qui est bien pour soi, ce qui est confortable, satisfaisant dans ta vie. En mettant ton attention sur le positif, sur ce qu’il y a déjà dans ton verre, il te sera plus facile de le remplir. La comparaison avec les autres crée des attentes, nourri les croyances limitantes et contribue à augmenter ton niveau de nervosité, d’anxiété, réduit la confiance en soi, la valeur que tu te portes et contribue au manque d’amour de soi. Nous vivons à une époque où tout va vitre, très vite et où tout est accessible facilement, très facilement. Les fastfoods, les achats en ligne, les sites de rencontres, le crédit… D’où l’importance de se ramener à maintenant, au fameux moment présent, à qui tu es, à tes expériences qui t’ont fait évoluer, à ce que tu possèdes, à ce que tu as véritablement besoin. Cet exercice de te concentrer sur l’instant présent va te permettre les actions utiles et changer ce dont tu as le pouvoir. C’est-à-dire, tes pensées, tes paroles, tes actions et réactions, tes comportements, tes apprentissages, tes efforts, tes jugements, tes décisions. En te nourrissant de positif, de réaliste positif, tu contribueras à en finir avec le sentiment de manque. Si tu vis avec le manque ou si tu connais une personne qui ressent ce sentiment de manque, je souhaite que cet article soit le premier pas vers la prise de conscience et le changement pour vivre mieux. Il est possible de se faire accompagner dans ce processus de changement, si tu as besoin, je peux t’accompagner en vidéoconférence ou à mon bureau de Québec. Je suis Véronique Martel 💜💫 Naturothérapeute praticienne hypnose HYCIE Praticienne Access Bars Enseignante de yoga, méditation pleine conscience pour enfant. Ambassadrice de L’Univers Attentif et Heureux

Je démêle pour toi ce qui est vrai et faux. L’hypnose chez les enfants est impossible. FAUX Au contraire ! Les enfants débordent d’imagination. Et, c'est exactement le travail que l’on fait avec l’hypnose, par le biais d’histoire. L’hypnose ne peut pas changer un comportement chez un enfant. FAUX Dans la mesure où l’enfant, veuille modifier son comportement. Un parent qui conduit son enfant à une séance d’hypnose en disant “Changez le comportement de mon enfant” n’est pas garant de la réussite. L’enfant est la personne assis dans le fauteuil de la transformation et cette transformation s’opérera si le client le veut bien, c'est-à-dire celui assis dans le fauteuil 🙂 Les deux clefs avec les enfants, c'est qu’il soit volontaire et capable d’exprimer son besoin de changer. Les enfants en bas âge ne peuvent pas bénéficier d’une séance d’hypnose. VRAI et FAUX Si un enfant de quatre ans est capable d’exprimer qu’il a peur des chiens et qu’il souhaite être capable de s’approcher d’un animal pour le flatter, par exemple, alors il peut bénéficier de l’hypnose. En général, l’âge moyen est autour de six ans. L’hypnose peut contribuer à arrêter les fameux pipis au lit. VRAI Tout à fait ! J’en ai accompagné des masses. L’hypnose peut reprogrammer l’enfant pour qu’il se réveille au sec, retrouver sa fierté et sa confiance par le fait même. Et, aller dormir chez un copain en toute quiétude. L’hypnose peut apporter plus de calme chez un enfant. VRAI Oh oui ! L’anxiété, les peurs, les inquiétudes, les doutes qui prennent trop de place peuvent grandement être diminués en modifiant le comportement qui nourrit l’anxiété. Nous avons tous des doutes, des inquiétudes à un moment ou à un autre dans notre vie. Apprendre à ne pas les laisser prendre toute la place, c’est possible avec l’hypnose. Les parents nuisent à la séance d’hypnose par leur présence. VRAI et FAUX Ça dépend des enfants, des parents et des situations. Parfois, un enfant sera plus à l’aise de ce laisser-aller sans d’autres yeux portés sur lui. Parfois, il sera rassuré de savoir son parent présent. Parfois, les parents parlent à la place de l’enfant et ce qu’ils perçoivent n’est pas ce que l’enfant vit, donc la séance est biaisée, Parfois, la situation que le petit client vit est en lien avec un parent. Par exemple, un enfant avait un “mauvais” comportement à la maison. L’un des parents accompagne leur enfant en hypnose pour modifier ses réactions vives et négatives. À la suite de la première séance, je sens qu’il y a un sous sujet. Je demande donc au parent et à l’enfant, s’ils acceptent que la rencontre se déroule sans le parent. C’est alors que l’enfant me raconte que son parent est toujours sur son cellulaire. Qu’il ne fait jamais d’activité avec lui, qu’il se fout quand il raconte sa journée… voilà la perception de l’enfant et il cherche l’attention en provoquant ! L’hypnose pour enfant mode d’emploi Les séances avec un enfant sont un peu différentes qu’avec un adulte. Chez les enfants, l’attention, la concentration, rester assis peut être un défi. Comme chez certains adultes d'ailleurs.😉 En plus, d’être devant un adulte inconnu peut être intimidant, déstabilisant, insécurisant. Dans une première rencontre avec un enfant, le parent assiste généralement en entier à cette séance. Sauf dans de rares exceptions où l’enfant a souhaité terminer l’expérience sans son parent. Ce qui est moins rare à la seconde séance, où habituellement le parent n’accompagne pas son jeune, dépendant de l’âge. Cette première rencontre, est le moment d’expliquer ce qui vous amène à venir consulter. C'est la partie dans laquelle je discute avec le parent pendant que l’enfant observe l’environnement du bureau et tout ce qui s’y trouve. Après ou durant cet échange, je me tourne vers l’enfant pour vérifier ce qu’il en pense, s'il a la même version. Il n'est pas rare d'entendre la version s'approfondir au fur et à mesure que la confiance s'installe et que l'enfant est libre de s'exprimer sans retenu ni jugement. Parfois, certains détails pertinents, pour comprendre le comportement, ne sont pas transmis durant l’échange. Souvent parce que le parent a jugé sans importance ce bout d’histoire ou il a seulement oublié. Dans un cerveau en construction, particulièrement à l’enfance où le rêve et le réel sont séparés par une ligne mince, un détail peut avoir tout déclenché. D’ailleurs, j'en profite pour spécifier que pour l’inconscient, aucune différence n'existe entre la réalité et ce qu’il perçoit comme réel. Ce qui peut expliquer que certains comportements paraissent démesurés, farfelus, exagérés pour la famille, les amis. Dans toutes les situations dans lesquelles tu fais fasse à une réalité qui te rend impatient, inconfortable, je t’invite à te questionner et à nommer ce que tu ressens. Apprendre à décrire ses émotions permet de savoir comment vivre et réagir avec ce que tu vis, mais également à adapter ta réaction à ce que ton enfant vit comme émotions. Si tu sens le besoin d’être accompagné pour être plus présent avec ton enfant, prends ce temps pour entreprendre une rencontre avec un thérapeute. Je te laisse le lien vers mes services. Je te reparlerai bientôt du monde merveilleux des émotions. Je suis Véronique Martel 💜💫 Naturothérapeute praticienne hypnose HYCIE Praticienne Access Bars Enseignante de yoga, méditation pleine conscience pour enfant. Ambassadrice L’Univers Attentif et Heureux

Aujourd’hui, les techniques de relaxation ce n’est plus un sujet inconnu. Méditation, pleine conscience, hypnose, autohypnose et quoi d’autre… yoga, qi gong, taï-chi… Reiki, Access Bars. Je te propose dans ce texte de décortiquer tout ça ou presque. D’abord, définissons la relaxation selon le dictionnaire Larousse Détente physique et mentale résultant d’une diminution du tonus musculaire et de la tension nerveuse. Méthode visant à obtenir cette détente par le contrôle conscient du tonus physique et mental afin d’apaiser les tensions internes et de consolider l’équilibre mental du sujet. La détente tant qu’à elle, toujours selon Larousse Décontraction, repos, délassement du corps ou de l’esprit, relaxation Alors, des méthodes pour arriver à cette relaxation consciente du corps et de l’esprit dans le but de vivre plus équilibré, il en existe plusieurs. En voici quelques-unes : Les différentes techniques de respiration Il est entendu que chacun d’entre nous, ici présent, respirons. La manière que nous respirons, mais également le temps que l'on prend pour respirer consciemment apportera de la détente au corps et à l’esprit et procurer cet effet de relaxation. Plusieurs techniques de respiration existent qui apportent chacun un bienfait intéressant. La pleine conscience Comme je t’ai déjà parlé dans un article, 6 bonnes raisons de pratiquer la pleine conscience, la pleine conscience est une attitude, une façon d’être dans un moment présent. La méditation pleine conscience est un exercice pour ouvrir les portes vers cette attitude. Le yoga C’est une méthode pour arriver à induire du calme dans ton esprit tout en améliorant son tonus musculaire. Par le biais des postures et de la respiration dans ces postures, trouver l’équilibre tout en gagnant en force, en flexibilité. D’où le travail physique et mental qui te demande d’être dans l’instant. L’après séance apportera une détente physique ainsi qu'au niveau de l’esprit, plus de clarté. Le scan corporel Voilà un autre exercice que j’affectionne personnellement m’amenant à mieux dormir. En portant mon attention sur une partie de mon corps à tour de rôle et en allant, simplement avec mon attention, détendre et induire du calme dans chaque partie du corps. La visualisation Un exercice qui peut apporter une détente du corps et de l’esprit dans la mesure où ton esprit imagine des endroits magnifiques qui te permettent de te sentir à ton meilleur. Ce qui peut devenir un défi quand les pensées intrusives volent la vedette à ton image de détente. Les points en commun Ce qu’il y a en commun avec ces méthodes, c'est que l’un des objectifs est la détente, le retour au calme. Particulièrement au niveau du mental puisque pour la plupart, la position demande un certain engagement musculaire pour ne pas s’endormir, ce qui apporte aussi une détente physique parce que l'engagement n’implique pas une contraction musculaire. On peut facilement se dire que toutes ces techniques sont essentiellement des formes de méditations. Ce qui est vrai à première vue. Larousse défini aussi la méditation comme la concentration du corps et de l’esprit sur un thème ou une religion. En pleine posture de yoga, le focus est bel et bien sur la position du corps, de la respiration. Comme dans la pleine conscience où, par exemple, nous portons notre attention sur nos cinq sens. À l’origine, la méditation était pratiquée par les Bouddhistes et les Hindouismes bien avant la naissance du Christ. Une pratique utilisée principalement par les moines et les yogis. La méditation demande une posture engagée, comme je le disais plus tôt, afin de garder notre esprit en alerte et concentré. L’objectif étant de se détendre, de relaxer, mais pas de dormir. La pratique de la méditation peut se faire n’importe où. Que ce soit en marchant et en comptant tes pas. En pratiquant la marche afghane ou assis sur un banc de parc, concentré sur sa respiration. Ou encore les mains plongées dans l’eau à faire la vaisselle se laissant porter par l’instant présent et la sensation de l’eau, du savon sur les mains. Les bienfaits de la méditation En se pratiquant à garder l’esprit et le corps présent dans l’instant, la méditation apporte des bienfaits non négligeables. En voici quelques exemples : une meilleure lucidité un meilleur sommeil une amélioration de la créativité une diminution du stress une vie plus saine et en santé. Je te propose deux techniques différentes de méditation. L’une consiste à te pratiquer à garder ton esprit dans l’instant présent par la méditation des 5 sens. L’autre en récitant un mantra que ce soit une phrase apportant des pensées positives par exemple. L’exercice est de répéter sans arrêt ce mantra, une sorte d’autosuggestion. Ici, nous sommes à mi-chemin entre l’autohypnose et la méditation. Voici un exemple de mantra à répéter : “Je suis calme” L’hypnose, pratique et bienfaits Le début de l’hypnose, appelé l’induction, peut s’apparenter à la méditation par son appel à la détente. À la différence que l’hypnose répond à un objectif précis. Un enfant, un adolescent ou un adulte ressentant des symptômes de stress, d’anxiété, d’angoisse qui rencontre un thérapeute praticien hypnose réduira considérablement ce ressenti et pourra pratiquer l'autohypnose et la méditation pour maintenir ce calme intérieur. Voici d’autres objectifs améliorés par l’hypnose : L’insomnie L’arrêt de tabac La concentration l’énurésie La douleur le changement d’étape (comme le passage au secondaire, un nouveau défi) Perdre du poids Il y a autant d’objectif que d’humain. La pratique de l’hypnose La première pratique est sous forme d’autohypnose. Un utilisant une intention et son imagination. L’autohypnose est d’utiliser l’objectif et d’en faire une mise en scène. Où tu es le personnage principal. Cette visualisation te permettra de te voir réaliser ce but, te l’appropriant. Tu peux aussi écouter des hypnoses enregistrées comme sur le podcast de Monsieur Madame tout le monde. Certains enregistrements de détente sont disponibles sans frais et certains autres sur abonnement parlent de thème plus précis sans qu’ils te soient personnalisés comme dans un accompagnement. Ce qui m’amène à te parler de la seconde technique. Être accompagné par un thérapeute pratiquant l’hypnose. Dans ce cas, le travail est fait en alliant conscience et inconscience pour atteindre une transformation profonde. C’est un processus. Dans mes accompagnements, j'ajoute des outils concrets à observer dans son quotidien et à mettre en pratique. Il demande de l’engagement envers soi comme pour chaque technique expliquée ici. Une pratique régulière, même quotidienne, de l’une et l’autre des techniques mentionnées. Mon expérience Depuis près de 30 ans maintenant que je côtoie le développement personnel en ayant un coach qui m’accompagne à différent niveau de ma vie. Depuis 2020, je me forme afin d’aider autour de moi le plus de personnes possible à vivre mieux. D'abord, mes propres enfants et leurs défis. Par exemple, le défi apporté par la maladie à présent guéri qu'un de mes enfants a vécu. Particulièrement touchée par les enfants, moi-même maman de trois adolescents, j’ai toujours échangé avec eux d’égal à égal tout en respectant les règles de vie, nos valeurs et leur cheminement propre à chacun. Les enfants que je reçois en coaching privé sont brillants, intelligents, drôles, mais trop souvent, ils ne le savent pas. Ils savent ce qu’ils ne font pas, ce qu’ils ne réussissent pas, ce qu’ils devraient faire et comment ils devraient être. Il me semble tout à fait primordial d’apprendre aux enfants à nommer leur ressenti et à exprimer leur besoin, leur désir, leur point de vue afin qu’ils se connaissent mieux au travers de leur évolution. C’est pourquoi travailler avec les enfants et les adolescents est aussi important. Je pratique le yoga, la méditation ou l’autohypnose chaque matin depuis maintenant une année entière avant que la maisonnée se réveille. Les premiers jours ont été assez faciles puisque j’étais déterminée. Cependant, installer cette discipline à plus long terme a été un défi les premières semaines. Après quelques dizaines de jours, ça me demandait un certain effort et puis quelques mois plus tard, je ne pouvais plus m’en passer. Ces matins de moi à moi m'ont permis un recul sur les situations du quotidien. D’avoir une vision plus claire de mes objectifs. D’être plus concentrée dans ma journée. Mieux dormir et m’endormir plus rapidement. Je n'ai réellement aucune raison d’arrêter de faire cet exercice matinal, de méditer et de visualiser la réalisation de mes objectifs. Même les matins où la fatigue est plus présente, je me discipline à faire ma pratique peut être moins matinale. Trouve-toi vite un endroit où tu ne seras pas dérangé, un moment où tu auras plus de chance de ne pas être interrompu. Choisi ta méthode et commence simplement. Sans jugement de valeur, de temps, d’efficacité. Un 5 minutes par jour, c'est mieux que rien du tout. C’est avec la rigueur de la pratique que tu verras les changements s’installer. Je te laisse là-dessus… Douceur, moment présent et temps Je suis Véronique Martel 💜💫 Naturothérapeute praticienne hypnose HYCIE Praticienne Access Bars et ParAmourHYCIE Enseignante de yoga, méditation pleine conscience pour enfant.

Profite de ce moment de magie L’hypnose ça donne des frissons dans le dos. C'est mystérieux. Ça donne le vertige. C'est pourtant qu'une méthode de changement comme tant d’autres. Elle fait partie de nos vies depuis la nuit des temps et dans chacune de nos journées. C’est donc tout à fait normal et naturel ! Par exemple, dès que tu es dans la lune ou entre deux états au petit matin ou encore, absorbé dans un roman. Ça te dit quelque chose ? Alors, tu peux toi aussi bénéficier de l’hypnose puisque tu y plonges régulièrement, légèrement, quotidiennement. On est loin du magnétisme du célèbre Franz-Anton Mesmer, né en 1734, ou des hypnoses de spectacle du Messmer actuel, né Éric Normandin. L’hypnose thérapeutique est plutôt un outil accessible aux changements de perceptions, de comportements. Mais, encore faut-il vraiment vouloir ce changement. Effectivement, puisque l’on parle du cerveau et de sa complexité qui évolue pendant des années, voire toute la vie, au fil des expériences. Il est possible de souhaiter changer, mais choisir d’être et de faire différent pour y arriver est moins intéressant, confortable. Avec l’hypnose, on ne parle pas de chirurgie et d’enlever une partie de nous qui nous déplait. L’hypnose est un travail sur soi qui demande de choisir consciemment, de transformer un état, un comportement, devenu un réflexe inconscient. C’est le choix de faire ce qu’il faut faire pour que ça fonctionne. Et, ça, c'est de la magie ! Est-ce qu’après une seule séance d'hypnose mon problème aura disparu ? Ton engagement dans le processus sera déterminant. Cela dit, il est tout à fait possible que oui ! C'est-à-dire que la phobie, une douleur, ou tout autre, soit réellement chose du passé en une seule séance. Dans ma pratique, je préfère planifier quatre séances pour assurer le suivi et bonifier, afin de vivre de mieux en mieux. Parfois, deux séances sont suffisantes parfois plus de six sont nécessaires parce que le travail sur soi se poursuit. Certains reviennent mensuellement pour retrouver ce calme et ce laisser-aller. Dans le processus, le client choisit de faire les exercices à la maison. À s’engager dans son changement. À faire différemment pour obtenir ce changement. Et, l'hypnose vient renforcer ces décisions au fil des expériences vécues pendant le processus. L’hypnose thérapeutique est un outil qui permet d’améliorer sa vie, de trouver des solutions, de travailler sur soi. C’est l’essentiel de la thérapie, réparer ce qui est cassé. Si l'on ajoute l’accompagnement, le coaching, alors, on guide vers une évolution de la personne. Tu peux lire plusieurs bienfaits de l'hypnose sur le site Centre Terre Happy. Comment fonctionne l'hypnose ? Grâce à vos superpouvoirs de créativité et d’imagination, de laisser-aller. Oui ! Je te confirme que tu es créatif quoi que tu en penses. Lors d’une hypnose, tu te laisses guider par la voix de l’accompagnant. Parfois, tu pars dans tes pensées et en un mot, tu te raccroches à l'histoire. Les mots deviennent des images. Ils prennent forme et tu entres dans ton monde intérieur. La scène que tu vis dans l’imaginaire, sème et crée les changements inconscients. La transe hypnotique est ce moment où tu n’es pas endormie, mais pas totalement éveillé. Comme sur la route, quand tu observes le paysage qui défile. Que les yeux peinent à se fixer, que tu regardes l’ensemble et rien en même temps ! Tu es en transe. Serait-il possible de ne pas sortir de la transe ? Eh bien non ! Si, par exemple, l’accompagnant arrête de parler, ton cerveau va se demander ce qui se passe et tu ouvriras les yeux. Simple de même !! D'ailleurs, si l'accompagnant te conduit sur un chemin que tu refuses de visiter, ton cerveau va te faire « décrocher » et tu sortiras de l'état de conscience modifiée. Après la séance d'hypnose, comment je me sens ? Après la séance, tu es plus calme, détendu, voire plus relaxe. Tout est beaucoup plus simple déjà et la vue de possibilités nouvelles se font sentir, ou sont déjà installées. Parfois, tu as perdu la notion du temps, le temps semble passer à la vitesse de la lumière ou au contraire très len-te-ment. Comme chacun est différent, il y a autant de possibilité et de variation de résultat. Tu as finalement le choix, d’ouvrir ton esprit à voir autrement ou à garder une résistance. Plusieurs facteurs peuvent influencer ton chemin. La voix du guide, les mots choisis, l’ambiance de la salle, la température… Ton mindset, tes croyances limitantes, ton environnement personnel... et c’est pourquoi dans mes accompagnements, j’accorde de l’importance à prendre conscience avant de semer dans l’inconscient. Cette première séance est aussi la base de la relation de confiance entre le client et l’accompagnant. Les autohypnoses Il est possible de changer certains comportements en pratiquant des autohypnoses. Soit avec des exercices que tu pratiques librement ou en écoutant des enregistrements portés sur un sujet, mais qui ne sont pas personnalisés comme en thérapie ou en accompagnement, coaching. Dans le podcast de Monsieur Madame Tout le monde, des exercices dirigés facilitant l’apport de calme en soi sont proposés, et ainsi réduire l’anxiété. En voici un que tu peux faire, peu importe où tu es et l’âge que tu as. Pour les plus petits, tu peux lire l'exercice ou si tu le maitrises, le dire à voix haute pour que l'enfant suive et apprenne à son tour l'exercice d'auto-hypnose. Je t'invite à t’asseoir confortablement, les pieds au sol, le dos bien droit. Tu peux aussi le faire coucher dans ton lit pour faciliter l’endormissement. Il est alors possible que tu ne te rendes pas à la fin de ce qui suit. 😴 Ferme les yeux. Prends le temps pour déposer ton corps et respire librement. La respiration, le berceau de la vie, ce qui fait que chaque jour, tu avances. Inconsciemment conscient. Consciemment inconscient. Porte ton attention sur ce que tu entends. Les sons, les bruits de ton environnement. Sans juger, simplement écouter. Quand tu sens que tes pensées vagabondent, ramène ton attention dans tes oreilles. Maintenant, place ton attention dans tes paupières. Remarques les couleurs, les forment, les images. Sans juger, uniquement observer. Il est normal que tes pensées vont et viennent, dans ce cas, ramène ton attention dans tes paupières. Déplace ton attention dans ta bouche. Qu’est-ce que ça goute ? Quelle est la sensation ? Chaud, froid, humide… Sans juger. Simplement goûter. Tes pensées se créent ? Alors, tu replaces ton attention dans ta bouche pour un instant. Cette fois-ci, mets ton attention sur ta peau. Que ressens-tu ? La chaleur du soleil, la brise d’un ventilateur, la douceur de la couverture ou la fraicheur de l’air ambiant, quoi d'autre ? Sans juger, critiquer. Reporte ton attention sur ta peau quand tu pars ailleurs. Finalement, concentre ton attention sur ton nez et ce que tu sens. Une chandelle qui dégage une odeur, les huiles essentielles, ton parfum, les lilas du printemps, l’odeur de lessive... Sans juger. Ensuite, prends conscience de ta respiration. De l’air frais que tu inspires et de l’air chaud que tu expires. De ton corps qui gonfle à l’inspiration et qui dégonfle à l’expiration. Profite de cette vague qui te berce, quelque temps, le temps d'une aiguille qui tourne les secondes. Observe ce que tu vis. Comment te sens-tu actuellement suite à cette expérience ? Quelle est la nouvelle ressource accessible pour toi et qui contribue à ce que tu ressens ? Laisse monter la réponse sans juger, ni critiquer. Profite de ce moment de magie. Je suis Véronique Martel 💜💫 Naturothérapeute praticienne hypnose Praticienne Access Bars et ParAmourHYCIE Enseignante de yoga, méditation pleine conscience pour enfant.

Savais-tu qu’une excellente méthode pour interagir avec ton enfant et tout autre individu est de parler le même langage que lui ? Je ne te dis pas d’utiliser les mêmes mots ou mêmes intonations, de l’imiter. Non ! Je parle de communiquer avec lui avec le même côté du cerveau qu’il utilise. Ok ! Je simplifie. Le cerveau droit est une partie de soi qui est à l’écoute de soi, qui perçoit nos émotions fortes. Il est important de porter attention et d'exprimer comment on se sent. Le cerveau gauche est une partie de soi qui raisonne, qui trouve les mots. Ainsi quand on vit une émotion forte. La colère, par exemple. L’équilibre entre les cerveaux droit et gauche agiront pour que la parole ne dépasse pas la pensée. À l’aide du cerveau gauche, le choix des mots sera plus judicieux pour exprimer la pensée, le sentiment fort perçu par le cerveau droit. Prenons l'exemple d'un enfant en colère parce que son frère vient de lui piquer sa voiture favorite. Il hurle des mots “pas gentils” et s’apprête à se ruer sur son jeune frère quand tu l’attrapes au vol. Ce n’est pas le meilleur moment pour lui demander de se raisonner, ce qui demanderait d’utiliser son cerveau gauche. Alors que lui en ce moment, il est full dans son cerveau droit. La meilleure stratégie serait de lui parler avec ton cerveau droit, tu comprends sa réaction, tu le rassures que vous trouverez une solution. Tu peux même le prendre dans tes bras. Quand il sera plus calme, il sera le temps de discuter avec vos cerveaux gauches et de raisonner la situation. Ensuite, il faudra faire le même processus avec l’enfant heurté par les mots durs qu’il a entendus à son égard. D'assurer l’échange, entre les enfants, des émotions vécues et de la solution la meilleure pour les deux enfants. Cela dit, les règles de vie ne sont pas pour autant misent de côté. S'il a été entendu dans votre famille qu’un manque de respect engendre une conséquence, la règle demeure. Simplement, l'appliquer au bon moment. Quand le cerveau gauche et droit sont plus équilibrés, afin d’éviter une ascension du cerveau droit dans la colère et un retour difficile sur la situation. Les bienfaits de l'équilibre L’équilibre entre ses deux hémisphères est essentiel au développement. Le cerveau est malléable et est perpétuellement en changement selon les expériences que nous vivons. Cette intégration, ce processus de connexion et reconnexion entre les deux parties du cerveau font que ça devient de plus en plus facile de maintenir la connexion, de vivre un meilleur fonctionnement de l’ensemble du cerveau dans les différentes expériences. Mais, comme pour aller gym, ça demande de la pratique et il n’y a pas d’âge pour apprendre à faire ses connexions et équilibrer nos hémisphères vers un cerveau intégré, plus puissant. Facilitant la prise de meilleure décision Mieux contrôler ses émotions, son corps Créer et garder des relations solides Mieux réussir à l’école Mieux se comprendre et se connaitre. À l’approche des vacances scolaires, je t'invite à observer ton enfant naviguer entre les deux rives. Soit celle du chaos, des émotions qui submergent, de l’agitation, de la confusion et celle de la rigidité, du contrôle excessif sur tout et tout le monde, incapable de s’adapter. Le cerveau en chantier Comme pour l’anxiété, les émotions que votre enfant vit pendant “la crise” sont réelles. Il est donc essentiel de les considérer même si elles te semblent farfelus, exagérées ou infondées. Rappelle-toi que le cerveau met des années à se développer, on parle de plus de 25 ans. Il est normal qu’un enfant d’âge primaire, ne prennent pas de décisions judicieuses. Qu’il ne maitrise pas ses émotions et son corps, ait de l’empathie. Il est donc tout à fait juste de dire qu’il ne se comprend pas toujours… son cerveau est en chantier ! Ce chantier est l’équivalent de construire une maison. L’enfant est au sous-sol, au début de son apprentissage. Avec les expériences, l’accompagnement des parents, des enseignements, de la famille, vous construisez un escalier pour commencer le chantier au 1ᵉʳ étage. Je t'invite à garder à l’esprit ces informations pour t'en servir dans la “construction”, l’éducation de vos enfants. Parfois expliquer plus d’une fois un concept, une règle de vie, répéter une consigne, partager comment on se sent, contribue à l’équilibre et l’intégration des différentes zones du cerveau et comprendre son entourage et soi-même. Je suis Véronique Martel 💜 Naturothérapeute praticienne hypnose Praticienne Access Bars et ParAmourHYCIE

La pleine conscience est une pratique ancienne datant d’avant JC. attribué à la religion Bouddhiste. Mais, aussi à d’autres religions, groupes spirituelles où le concept du moment présent est mis en de l’avant. En Amérique, Jon Kabat-Zinn fut l’un des premiers à promouvoir cette pratique. Une technique appelée en anglais le mindfulness définit selon lui comme “Un état de conscience qui résulte par porter son attention intentionnellement au moment présent, sans juger, sur l’expérience qui se déploie moment après moment”. On pourrait dire que la pleine conscience permet d’être capable de procéder à une observation objective du moment présent de façon engagée. J’ai longtemps été intimidé quand les personnes parlaient de pleines consciences. J’avais l’impression que c’était un sujet complétement éclaté destiné à une clientèle particulière. À d’autres moments, je le percevais comme un sujet à la mode, intéressant à avoir dans son discours et galvaudé de tout bord, tout côté. Avec mes années de développement personnel, les formations que j’ai suivies, ma pratique, je me suis aperçue que la pleine conscience se développe comme la patience. Finalement, c’est assez simple et tu l’as probablement déjà cette capacité, même si tu penses que c’est accessible que pour les moines en méditation. 😉🧘‍♂️🙏 C’est quoi la pleine conscience La pleine conscience est une attitude. C’est une posture d'attention, de présence et de conscience. C’est être conscient d’un ressenti, d’émotions confortables ou inconfortables, donc à l’interne ou encore d’une situation externe comme le chant matinal des oiseaux. Elle consiste à porter, intentionnellement, attention à une expérience, en soi ou dans notre environnement, qui se présente dans le moment présent. 👉 Sans filtre, ce qui veut dire que l’on accepte ce qui vient. 👉 Sans jugement de valeur, on ne décide pas si c’est correct ou non. 👉 Et, sans attente, alors on ne cherche pas à penser, à ressentir ou à vivre quelque chose de précis. Ici, ce n’est pas avoir l’air de méditer, être dans une démonstration d’être à l’écoute ou attentionné. C’est être attentif et la méthode des cinq sens est un autre exercice intéressant pour t’y amener. Je t’en reparle dans un TikTok. Tu pourrais être assis dans l’autobus de ville, concentré sur ton inspiration, ton expiration et ramener tes pensées sur cette respiration dès que tu prends conscience que tes pensées divaguent. À quoi sert la pleine conscience À relaxer Se concentrer Être calme Prendre du recul Se sentir bien La pleine conscience peut avoir de nombreux bienfaits sur notre bien-être physique et notre bien-être mental. N’est-ce pas merveilleux ? En voici quelques-uns. Réduire l'anxiété, en nous aidant à nous concentrer sur l'instant présent et à lâcher prise sur les pensées négatives, passées et futures. Tu te souviens de la différence entre le stress et l’anxiété ? Tu peux retourner dans cet article de Blog sur ce sujet. Réduire les effets du stress. En étant plus conscient de tes émotions, de tes réactions et mieux les réguler. Améliorer ta qualité de vie en étant plus présent dans l'expérience du moment Gagner en clarté d'esprit, prendre du recul dans cet instant présent pour mieux appréhender les problèmes Améliorer le sommeil, perso 🙋‍♀️ j'aime bien pratiquer le scan de mon corps et je m’endors dans le temps de le dire Améliorer les troubles de l'attention et de la productivité en étant concentré sur l'essentiel Génial ! Comment je fais ça ? Mis à part l’exemple de l’autobus, tu peux aussi faire une méditation. Que tu sois en position assise ou debout, les yeux fermés ou ouverts, concentré sur une image ou un son a peu d'importance. Ce qui est le plus déterminant est d’avoir une pratique assidue. Plusieurs courtes séances sont plus efficaces que de faire de longues méditations à l’occasion. Quand je parle d’efficacité, je parle des bienfaits au quotidien. En accompagnement, je suggère à un client qui n’en a jamais fait de mettre une minuterie de 5 minutes pour commencer et d’augmenter graduellement jusqu’à 10 minutes pour ensuite se laisser guider selon le moment. Côté mise en place pour débutant, il est important de trouver un endroit calme où tu ne seras pas dérangé. T’asseoir confortablement, les pieds bien ancrés au sol et le dos droit, assis sur les os des fesses. Assis confortablement et relâché dans son fauteuil est plus propice à s’endormir qu’à méditer. 💤 Ensuite, commence par porter ton attention sur ta respiration, chaque inspiration et chaque expiration, sur l’air frais qui entre quand tes poumons se gonflent et sur l’air plus chaud qui sort à l’expiration. Et, comme dans l’autobus, quand tu sens que ton esprit s’évade, tu replaces ton attention sur la respiration, sans jugement, ni déception. Voilà deux endroits bien différents dans lesquels ce simple exercice de respiration en pleine conscience t’amène à porter ton attention sur le moment présent. Tu peux aussi commencer la pratique de la pleine conscience dans ta vie quotidienne, dans des moments routiniers. En pratiquant une marche consciente, attentif à chacun des pas. Ressentir le pied qui touche le sol. Observer le mouvement des bras et des jambes. Mais également en portant ton attention au décor, à ce que tu vois, tu entends, tu sens, tu ressens sur ta peau pendant que tu marches. En mangeant, c'est aussi un exercice qui ouvre la dimension de se nourrir dans un tout autre sens. En regardant les couleurs dans ton assiette. Porter les odeurs à ton nez. Prendre une bouchée et mastiquer pour goûter véritablement les aliments. Cette attention “ici et maintenant” permet au cerveau de se calmer, d’envoyer le message de satiété et d’être entendu au bon moment. Facilitant ainsi la digestion et manger à sa faim, sans plus. Bien entendu, il est nécessaire que tous les écrans soient fermés. En prenant conscience, durant que tu as les deux mains dans la vaisselle, de ce que tu entends. Le chant des oiseaux, le bruit du vent, le claquement de vaisselle l'une contre l'autre, les conversations des enfants et quoi d'autre ? Sans jugement, sans attente, sans filtre… Je t’invite à commencer par l’un ou l’autre des exercices et à observer ce qui se passe chez toi, à l’intérieur comme à l’extérieur. Prendre un instant, en famille, assis à la table à regarder son assiette et sentir les aliments, pour finalement y goûter en mastiquant lentement, influencera certainement toute la famille. Je suis Véronique Martel 💜 Naturothérapeute praticienne hypnose Praticienne Access Bars et ParAmourHYCIE

Trouver son rythme est un bon défi aujourd’hui avec cette vie qui roule à vive allure. Par ailleurs, elle a le dos large la vie ! C’est assez de se mentir à soi-même et de trouver les défaites à tout ce que l'on aimerait faire et que l’on ne fait plus. Il est grand temps de se choisir et de vivre heureux, totalement bien et de plus en plus en plein pouvoir de nos choix de vie. Mais, comment on fait ça ? Par où commencer ? Aller hop ! On pousse la réflexion Que ne fais-tu plus et que tu souhaiterais faire ? Y a-t-il quelque chose dont tu rêves de faire ? Pourquoi tu ne le fais plus / ne le fais pas ? Qu’est-ce que ça t’apportait par le passé, quand tu le faisais ? Pourquoi est-ce un problème de ne plus le faire ? Qu’est-ce que ça t’apporterait de différent de le faire à partir de maintenant ? Qu’est-ce que ça t’apporterait de faire cette nouvelle chose ? Je pousserais la réflexion consciente bien plus loin si j’avais tes réponses ;) Comment reprendre le pouvoir de ton horaire pour te permettre de souffler un peu, de ralentir et de vivre mieux ? Une étape intéressante est de faire un bilan de l’année. Ce qui s’est passé en date de ce jour, de l’an dernier à aujourd’hui. Par exemple, au moment d’écrire ces lignes du 4 avril 2022 au 3 avril 2023. Revisite chaque moment de cette année passée et demande-toi ce que tu aimerais pour celle qui commence aujourd’hui. Sans forcer, laisse monter des idées, des projets et tu dresses la liste. Sans te préoccuper de ton budget, de ton temps… Ensuite, tu établis quand dans l’année, tu souhaites faire, réaliser, achever ses idées, ses projets pour voir si c’est cohérent, réaliste. Certaines idées peuvent débuter dans la planification et être réalisé dans une année à venir. S’il y a lieu, planifie à chaque mois l’objectif mensuel vers l’atteinte de ces objectifs annuels. Et, éventuellement, de façon hebdomadaire, quotidienne. Est-ce toujours réalisable, atteignable ? Comment peux-tu améliorer la planification pour que cela soit ? Laisse de l’espace dans tes journées pour les imprévus et un espace temps, de préférence, chaque semaine pour compléter ou rattraper le temps emprunter pour les imprévus. Je sais, elle est tough! Mais, du temps de buffer, c'est comme planifier un rendez-vous au temps du temps. C’est important. Moi, c'est le vendredi après-midi. Pour ma part, j’utilise un agenda papier. Chaque tâche ou groupe de tâches à sa couleur. Les rencontres clients, le yoga et la marche, mon temps de formation et celui des obligations. Je planifie aussi dans l’agenda, les journées pédagogiques des enfants, mes journées de repos en solo, mes sorties avec l’homme ou avec les amies et les vacances annuelles et ce même si c’est dans plusieurs mois. Par moments, je m’installe pour faire une introspection pour savoir si cette structure me convient encore et si je souhaiterais un temps de repos plus rapproché que ce qui est planifié. Comment changer la structure pour prendre ce temps sans affecter les tâches ? Peut-être en interchangeant deux journées ou en reportant un projet. Chaque fois que tu sens que tu pars en vrille, marque une pause pour mieux observer ce qui se passe en toi, prendre conscience de ton énergie et détecter ce qui bloque avant de prendre une décision, de passer à l’action. Une fois que ce tour du propriétaire est complété, tu peux mieux clarifier ton plan d’action, tes objectifs et recadrer ta structure pour qu’elle soit réalisable. Tu réajusteras possiblement ton plan initial annuel, mensuel pour rendre ton quotidien plus confortable. Et, même, remettre certains objectifs dans la liste des rêves pour l’année suivante. Plus tu fais de la place, dans ta tête, dans ton cœur, plus la vie est claire et s’amène à toi ce que tu as réellement besoin. Rappelle-toi que plus l’action est faite, aligné sur tes valeurs, en cohérence avec ta vibe, plus cette action sera fluide et conséquente. Tu sentiras une énergie en avançant dans ta vie, de la joie, plus de calme malgré l’excitation et le sentiment de confiance qui propulse vers le pouvoir de soi. Je suis Véronique Martel 💜 Naturothérapeute praticienne hypnose Praticienne Access Bars et ParAmourHYCIE

Qui n’a pas entendu “on n'a qu’une vie à vivre”? Que ce soit vrai ou non n’est pas réellement important pour ce que je souhaite partager avec toi. Cette vie-ci, il n’en demeure pas moins que c’est la tienne, la mienne. Ta vie. Ma vie. On parle souvent de mission dans le cas des entreprises, mais qu’en penses-tu si je te dis que ta vie, c'est comme une entreprise ? Chacun son entreprise Dans son existence, nous bâtissons sur nos idées, nos valeurs, on cocrée avec des relations passagères et d’autres qui demeurent au travers des années. On se fixe des objectifs, des buts. Nous traversons des périodes plus difficiles, on réussit des défis. On vit aussi des moments riches, abondants et d’autres plus restreints, plus solitaires. Ainsi va durer toute notre vie d’entrepreneur personnel présentant chacun son offre, qui il est, comment il entrevoit son passage. L’humain est complexe. Les perceptions évoluent avec l’expérience. De même que nous avons de la mémoire, des ressentis et de l’intuition. Sans s’en apercevoir et bien malgré nous, on se construit des croyances provenant de nos peurs, de nos limites. La façon dont chacun agit dans sa vie dépend de cet ensemble et de la vision de notre vie, de notre mission aussi. Je te propose de réfléchir à ta mission de vie Qu’est-ce que c’est pour toi, ta mission de vie, ton but ultime? Être la meilleure version de moi-même afin d’être alignée à mes valeurs, à qui je suis à 100 % pour être authentique, intègre et heureux est, en mon sens, LA mission d’une vie. Qui n'en voudrait pas ? Mais, qu'est-ce que ça veut bien dire concrètement? C’est ton engagement à t’aligner à qui tu es réellement. Ce que tu vis t’appartient. Agir, réagir c'est un choix. Ce que tu vibres se puise dans tes gestes. Ce que tu fais est suite à une décision. Et, ce que tu dis vient de ce que tu réfléchis. Alors, ces réflexions sont tes dialogues intérieurs. Quelles sont les paroles qui roulent en boucle dans tes pensées? Je t’invite à bien choisir ses mots pour te permettre de vibrer haut, aligné à ton TOP toi. Ta vie. Ton chemin. Ton choix. Ha oui, c'est vrai! Il y a ces autres. Ces autres êtres humains qui, eux aussi, ont leur propre parcours. Peut-être te dis-tu que c’est égoïste comme discours ce que je te raconte aujourd’hui. Probablement, te dis-tu que ce n’est pas possible d’être totalement vrai? Que tout ne peut être dit? Tu crois sûrement que tu n’as pas ce pouvoir de changer, d’être complètement toi-même. À vrai dire, si chacun se choisit, dans le respect de ses possibilités, en étant honnête envers soi-même, dans ses sentiments, ses ressentis, ses rêves, ses désirs. Si chacun est connecté à son essence propre, pas de “game”, pas de personnage, pas de masque dans l’intimité de soi à soi. Si chacun pense, dit, fait ce qui est vrai pour lui… Il y aurait plus d’authenticités, tu sais les vraies affaires !? Voici la définition d’authenticité selon le Robert : "Qui exprime une vérité profonde de l'individu et non des habitudes superficielles, des conventions." Je crois qu’en étant vraiment tel que TU ES, tu attiras l'entourage et les événements qui te concernent véritablement. La rencontre avec un autre qui vit avec cette vibe d'authenticité devient une explosion de possibilités. Que peux-tu faire de façon différente, dès maintenant, pour te sentir plus équilibré? Je suis Si chacun s’ancre dans JE SUIS plutôt que dans la représentation de qui il souhaiterait être, Sa vie sera meilleure, plus simple, plus productrice d’énergie. De plus, elle sera plus claire. Sa vie sera plus libre. Par où commencer? D’abord fait l’exercice de ce que tu veux changer. T’arrive-t-il d’accepter de faire quelque chose même si c’est contre ce que tu penses, ce que tu crois ? Dire oui même si tu aimerais dire, non? As-tu parfois l’impression d’aller contre tes valeurs, tes croyances? Par exemple en ne donnant pas ta véritable opinion… Fais-tu des choses pour ne pas déplaire aux autres, amis, collègues, partenaire de vie, enfants? Ou par peur perdre de ta popularité? Oublies-tu de manger, boire? Ou bien patientes-tu jusqu’à la dernière minute pour aller à la toilette, entre autres? Sais-tu ce qui te plait, ce qui te procure du bonheur, ce qui est important pour toi? Connais-tu tes forces, tes faiblesses? Fais une introspection de ce qui ne contribue pas réellement ta personnalité; des manies, des réflexes, des réactions. Ensuite, pourquoi tu réagis de telles ou telles façons dans différentes situations. Regarde aussi le chemin que tu as parcouru, les améliorations déjà, faites. Ensuite, regarde l'avenir, visualise sur ce que tu souhaites. Comment tu te vois dans le miroir, dans ton charisme? Comment désires-tu ressentir face à tes choix? Que veux-tu vivre à l'intérieur, les sentiments?... Exactement… fais comme si. Place ton énergie comme si tu y étais dans ce demain. Ressens ce qui vibrera à l’intérieur de toi, l’effet que ça fait d’être authentique à ce point. Maintenant, vis, place à chaque instant, cette manière d’être. Tu as les ressources nécessaires, puisque cette idée vient de toi. Il s’agit de les utiliser. Tout changement part de soi Je suis Véronique Martel 💜 Naturothérapeute praticienne hypnose Praticienne Access Bars et ParAmourHYCIE