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Le parcours de Véronique Martel

Dans ma valise, je transporte …

J’ai commencé par naitre d’une famille qui n’en a jamais été une.

 

Puis je suis devenue une fille unique vivant avec une mère monoparentale, qui m’a tout donné ce qu’elle pouvait dont beaucoup d’amour. J’ai pu être aventurière, contremaître, coiffeuse et libre.

 

Et je suis devenue une adolescente douce rebelle. Cohabiter avec une maman qui veut trop ta sécurité, n’a pas été de tout repos. J’avais besoin de me libérer, de m’accomplir, de me définir… et de VIVRE.

 

J’ai eu cinq belles années dans un collège de filles. Et les amies que j’ai rencontrées à cette époque sont toujours dans ma vie depuis plus de 30 ans.

 

L’été de mes 16 ans a été les fondements de l’adulte que je voulais devenir. Un été que j’ai passé dans l’Ouest. À vivre libre …

Puis il y eut ce premier accident d’auto marquant.

C’est à ce moment que beaucoup de choses ont changé. Entre autres, mes premiers rêves.

Il a été décidé que j’irais au CÉGEP près de chez moi où j’ai finalement réalisé avec succès une technique en diététiques. Mon premier contact avec la bouffe, mais aussi avec les vrais partys, et le début des représentations avec un masque différent selon la situation, les gens, mon humeur...

À travers tous ces excès, je me suis formée comme instructeur en aérobie, avec du recul, ça m’a certainement maintenu en vie.  

Et j’ai travaillé pendant près de 20 ans dans le milieu de la restauration. D’abord comme serveuse, barmaid, gérante et puis comme Co propriétaire.

Et pendant tout ce temps, j’ai essayé d’être à la hauteur … mais de qui?

Toujours entourées de beaucoup de gens, mais ne me retrouvant dans personne, toujours différente.

 

​

Ces êtres d’amour

J’ai vraiment commencé à me retrouver, à me connecter à mon essence profonde avec l’arrivée de mon premier enfant, Émile. Plus rien ne pouvait être laisser-aller. Je n’avais plus à me comparer. J’étais une mère unique avec un enfant unique et personne n’avait de mode d’emploi.

Je goutais une forme de liberté, face à mon intuition de chaque instant. Ma vie venait de prendre un vrai sens, un sens vrai.

Ce jeune parcours de mère m’a aussi préparé à l’arrivée de mes deux grossesses suivantes, celle d’une entreprise en restauration et celle d’Estelle et de Benjamin, des jumeaux.

La restauration est un domaine dans lequel j’ai été bien, heureuse, dans lequel je me sentais flamboyante et appréciée. Mais avec la vie de famille et mes intuitions, il y avait un accroc, un décalage et je m’assombrissais de plus en plus.

Et est arrivée la maladie de Perthès

La maladie de Perthès est arrivée soudainement dans la vie de Benjamin alors qu'il avait 7 ans. Et j’ai trouvé en moi une énergie de faire valoir ses droits à être soignés du mieux possibles avec le moins de risque possible sur sa santé à long terme afin qu’il retrouve sa liberté d’origine.

Toute cette motivation, tous ces recherches, ses lectures, ses appels, ses lettres à nos ministres, députés, médecin en tout genre dans différents pays.

Tous ses massages, câlins, toutes ces fois où j’aurais pris sa douleur, ses frustrations, ses peurs, ses angoisses.

Et tout ce qui continue autour dans leur réalité de sœur jumelle, de grand frère, de vie de couple, de vie de famille dans cette perception bizarroïde d’injustice de chaque instant.

Mais lui, son sourire en nous regardant, sa résilience en allant dire au revoir à sa troupe de Hip Hop, en expliquant à des enfants dans un parc que lui ne peut pas courir, son ouverture à développer d’autres passe-temps autres que les cascades et les sports, sa détermination à faire des choix pour être au mieux avec le moins de douleurs, sa persévérance à chaque séquence de traitement loin de la maison.

M’a enraciné dans ma mission de vie rencontrée à la naissance de mon premier enfant. Je devais être à là, présente, à mon meilleur.

Nous avons gagné. Il a été soigné, il a guéri et n’a aucune séquelle. Il peut à nouveau courir, sauter et être libre.

Puis il y a eu ce deuxième accident de voiture

C’est à ce moment que ma phrase fétiche « Rien n’arrive pour rien » a pris tout son sens. J’ai fait le choix, que toute cette douleur physique que je ressentais, tout ce trauma à reprendre la route, en plus de l’annonce simultanée que j’étais dans une dépression majeure, tout ça n’y était pas en vain et que surtout, ça ne mènerait pas le reste de ma vie.

Cette période a été une renaissance. Un moment de soin à mon égard dont je serai éternellement reconnaissante.

Faire des choix, se choisir

J’ai fait des choix, j’ai pris des décisions, j’ai suivi mon instinct. Je me suis formée et aujourd’hui je vis sans crainte, sans douleur, sans frein.

 Je suis libre et vous pouvez l’être aussi.

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Véronique Martel n.d.

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Collaboration Conscience Liberté

Diplômes

  • Thérapeute praticienne hypnose HYCIE enfants, Académie Hypnose HYCIE.

  • Thérapeute praticienne hypnose HYCIE adolescents et adultes, Académie Hypnose HYCIE.

  • Praticienne énergie ParAmourHYCIE, Académie Hypnose HYCIE

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