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  • 3 étapes pour passer à l'action

    Pourquoi le moment présent est important pour passer à l'action Beaucoup de gens sont motivés par des grandes ambitions, mais n’arrivent jamais à passer à l’action. Si tu as déjà ressenti cette situation, ne t’inquiètes pas ! Tu n’es pas seul. Vivre le moment présent est un moyen de rester centré et aligné sur tes objectifs, ta mission et les rêves que tu souhaites concrétiser. C’est une question de sélectionner ce qui est important et de dédier du temps à chacun de ces points qui comptent dans ta vie. Pourquoi vivre le moment présent? Pour te connaitre, ton flow, ta vibe. Pour vivre aligné plutôt que soucieux d’un avenir sur lequel le seul pouvoir que nous avons est d’y contribuer dans le présent ou encore vivre avec les remords, les regrets, la nostalgie, l’amertume, la victimisation d’un passé qui est… passé! Que peux-tu y changer? On ne peut pas changer ce qui s’est passé et cela peut nous laisser avec un sentiment d’impuissance et une perte de contrôle sur nos émotions. Vivre le moment présent aide à s’extraire de ce cycle répétitif afin que nous puissions reprendre possession de notre vie et apprendre à vivre avec nos sentiments. Quand tu es centré et aligné sur les besoins du moment... 👉 Tu es libre de répondre à la situation telle qu’elle se présente. 👉 Tu peux prendre des décisions plus éclairées parce que tu es conscient des circonstances. 👉 Cela permet d’accroître la productivité, car tu peux effectuer des tâches une par une plutôt que d’essayer d’accomplir trop de choses à la fois. Mais pourquoi ralentir? Pour trouver l’équilibre, pour mieux choisir, mieux planifier, pour écouter le mantra, la petite voix interne, le besoin, les réponses en soi. Lorsque tu prends le temps de ralentir et que tu cesses d'essayer d'aller toujours plus loin plus rapidement... 👉 Tu as le temps nécessaire pour écouter ce qui se passe autour de toi. 👉 Tu commences à remarquer les petits moments qui font une différence dans ta journée – comme un sourire ou un geste gentil. Ces petites attentions peuvent transformer ton humeur, apporter plus de paix et calme ton esprit. Le Moment Présent est essentiel pour passer à l'action Lorsque les gens rêvent de grands projets et ne passent jamais à l’action, ils sont souvent piégés dans un cycle d'angoisses et de peurs qui empêchent toute initiative. La meilleure solution est de comprendre que tout commence par des petites actions quotidiennes menant vers l’objectif final. Consacrer du temps chaque jour pour avancer est la clé. Pour commencer, essaye de trouver une activité que tu apprécies et qui puisse facilement être intégrée dans ta routine quotidienne. Faire du sport ou méditer peut aider les personnes à rester centrés sur le moment présent et les encourager à passer à l’action sans angoisses ni peurs supplémentaires. 💜 Ton cerveau apprendra alors qu'il y a une satisfaction immédiate associée au fait de passer à l'action. 💜 Ton esprit apprendra également que ce sentiment positif se reproduira encore si tu continues à prendre des mesures concrètes en direction de ton but. Je t’invite toujours de passer à l’action, mais aussi à prendre du recul et s’arrêter pour mieux agir 1- Ralentir, ressentir Faire une pause, dans le cas présent, je vais parler de méditation. Se concentrer sur la respiration. Sur ce souffle qui entre et qui sort sans se soucier de modifier quoique se soit. Simplement ressentir. Ralentir le rythme du corps et des pensées. Ajuster en se concentrant avec la respiration sur les tensions et laisser aller les pensées en ramenant l’attention sur la respiration. Je vous invite à mettre une minuterie au début de 5 minutes et d’augmenter avec le temps. Le fait d’avoir ce temps qui coule sans s’en préoccuper te libérera de ce souci. 2- Observer et nommer À présent que ce temps est écoulé, observe ce qu’il a de changé, de nouveau. Ça peut être une nouvelle idée, une sensation différente… Nomme ces observations en mot, en phrase, en idée, en couleur, en émotion. Je t’invite à l’écrire dans ton agenda à chaque jour que tu fais cette méditation de 5 minutes pour voir ce qui en ressort au bout de la semaine. 3- Passer à l’action avec conscience Alors que tu es plus calme, plus déposé, que tu as l’esprit plus clair, tu es prêt à agir en toute conscience de ce qui est présent pour toi à ce moment. Fais-toi confiance. Et agis. Si tu te prépares pour un exposé, une rencontre importante, à régler un conflit ou simplement à poursuivre ton travail, commencer ta journée, la finir, tu pourras le faire avec cette intention d’être pleinement dans ce moment présent. Cette action sera alignée sur ce qui vibre en toi. Tu sens ton engagement, ta cohérence, motivé par un sentiment de confiance, d’assurance qui remplit de joie. Enfin, prendre son temps signifie avoir suffisamment de recul pour planifier efficacement les prochaines étapes vers l’atteinte de tes objectifs. Prendre du recul, entraine une meilleure vision, plus claire, quant aux choix qui sont devant toi. Tu peux alors faire des choix en fonction des circonstances actuelles plutôt que basés sur ta vision ou ton intuition passée (ce qui mène potentiellement à regretter ses décisions). Tu es alors libérée(e) d'un passé qui ne peut pas être changé afin d'avancer vers un avenir prometteur. Vivre pleinement le moment présent permet entre autres... 🌟 D'apprendre à maintenir ton focus afin que tes actions soient en cohésion avec ce que tu veux accomplir 🌟 D'apprendre à trouver l'alignement entre contraintes extérieures objectives et sentiments intimes subjectifs 🌟 De trouver l'harmonie entre planification future et contemplation du moment présent Alors prends ton temps ! Écoute-toi, observe et agis. Cela te permettra certainement d’arriver plus loin que prévu et différemment que ce que tu croyais en te connaissant de plus en plus et à vivre de mieux en mieux ! Je suis Véronique 💜 Naturothérapeute praticienne hypnose Praticienne Access Bars et ParAmourHYCIE

  • Des enfants confiants ?

    Le voulez-vous vraiment ? Oui ! C’est bien ma question. Veux tu réellement que ton, tes enfants soient plus confiants, positifs, indépendants? Je demande, mais je me doute bien que la réponse générale sera OUI! Maintenant, fais-tu ce que tu dois faire pour que ça se produise? Je ne juge personne. J’ai moi-même trois enfants entre puberté et adolescence. Quand nous sommes parents, notre objectif est de faire le mieux possible de la meilleure méthode possible. C’est exactement le but de cet article. Je donne des trucs pour faire autrement que ce que tu fais déjà. C’est une possibilité! Choisir consciemment les actions, paroles, gestes qui vont faire la différence. Je renforce positivement Certainement que tu renforces positivement les comportements de ta progéniture. Mais de quelle façon ? Voici une première mise en situation : #1 Le petit enfant tant désiré renverse son verre de jus dans son assiette. Quelle est ta réaction? A- Tu sautes un plomb tout en ramassant frénétiquement le dégât en terminant, culpabilisant, avec “Ok maintenant mon p’tit chat fait un peu plus attention.” B- Tu sers une nouvelle assiette sans dire un mot, mais en soupirant, réalisant son air inquiet, tu lui dis que ce n’est pas grave. C- Tu impliques l’enfant tant désiré dans le nettoyage et vous vous remettez à table. #2 Le petit enfant tant désiré range son espace en revenant de l’école alors que tu n’as rien demandé. Quelle est ta réaction ? A- Tu n’as rien dit parce que tu n’as rien remarqué. B- Tu le félicites pour son initiative, c’est vraiment une belle surprise qui fait plaisir à maman et/ou papa. C- Tu mentionnes le travail derrière le résultat. "Tu as ramassé les vêtements pour les mettre dans ton panier et en plus, tu as rangé les livres dans ta bibliothèque. C’est intéressant et c’est propre." Roulement de tambour sur le résultat Effectivement ce que je recommande est les réponses C. Pourquoi ? En impliquant ton jeune dans la réparation de cet accident, tu le responsabilises dans ses gestes. Il apprend que chaque geste à une conséquence et que chaque problème à une solution. De fait, tu seras heureux de le voir se ramasser davantage et prendre même des initiatives quand il croisera ce genre de situation. Comme aider la fraternité qui suit et qui vivra une situation semblable. De plus, énumérer ce qu’il a fait et comment il l'a fait, lui procurera de la fierté et comblera son besoin d’attention. En complimentant de manière explicative, l’enfant visualise ce que tu lui dis et ainsi enregistre cette façon de faire. Mais attention au jugement Notre premier réflexe est d’accorder de l’importance à ce qui nous énerve, nous déplait, nous irrite, nous fatigue. À force de répéter à notre enfant d'accrocher son manteau en entrant à la maison et peut-être en ajoutant quelque chose comme “Mais comment fais-tu pour oublier une consigne si simple?” Ce qui va se produire est justement qu’il oubliera cette demande. Parce qu’il ne sait faire autrement et ce que son cerveau retient est, qu’alors qu’il entre dans la maison, il doit faire cette chose que son cerveau oublie toujours… mais c’est quoi déjà? En plus, si on ajoute, peu importe le ton, une étiquette comme “Tu as une mémoire de poisson rouge, tu as encore oublié de ranger tes chaussures en arrivant de l'école" La conséquence peut s’avérer beaucoup plus importante que le simple geste de le faire ou non, cette tâche pourtant simple! Alors là, la notion de ne pas avoir de mémoire pourra le suivre dans divers domaines de sa vie. Simplement en remarquant ce qu’il a fait et en nommant comment il a fait, tu viens de changer toute l’histoire. Ces attentions contribuent à ce que sa confiance en lui s’installe de plus en plus profondément et avec assurance. C'est plus fort que nous. On a envie de dire que c'est bien qu'il ait accroché son manteau et que nous sommes contents qu'il l'ait fait. Je vous invite plutôt à démontrer comment c'est agréable pour tous que ce soit rangé parce que tout le monde se sent mieux, plus dans la légèreté que dans la lourdeur. Maintenant, chers adultes, à l'entraînement. Chercher les bons coups de votre enfant chéri et répétez ce qu’il a fait pour conceptualiser ses gestes. Vous contribuerez réellement à ce qu’il gagne en confiance. Tu es capable et c’est un choix. Bonus:) Tout à fait, il y a un bonus. Ce que tu accomplis, en te pratiquant à voir les accomplissements positifs, amènera de la légèreté dans votre vie de famille, plus de moments heureux et de joie. Tu peux lire "Prendre du recul pour mieux avancer" pour aller chercher d'autres trucs utiles pour ta situation. C’est un choix qui me sonne gagnant/gagnant. Un enfant plus confiant, une famille plus heureuse et des parents positifs. WOW! Quel programme d’entraînement! De fait, dans mon bureau, combien d’adultes sont devant un cahier blanc quand je leur demande de reconnaître les gestes qu’ils ont posés et qui rendent fier. Je te propose donc de t'exercer sur toi aussi. Dans un cahier, agenda, peu importe, note chaque jour quelque chose que tu as fait, dit, ressenti de positif, d’utile. “Aujourd’hui, j'ai remarqué que mon garçon a placé son manteau sur le crochet et j’ai partagé comment l'entrée dans la maison était plus agréable lorsque le vestibule est rangé.” “J’ai pris 3 grandes respirations conscientes avant mon meeting, pour être plus focus sur l’essentiel. “ “Je n’ai pas fait cet achat en ligne impulsif, j’ai pris le temps de questionner sur le fondement de cet achat et j’ai pris conscience que c’était de l’évitement en lien avec la situation passée dans la journée.” Bon entraînement! Je suis Véronique 💜 Naturothérapeute praticienne hypnose HYCIE Praticienne énergie ParAmourHYCIE et Access Bar

  • Ruminations ou préoccupations ?

    Tout d’abord, mettons au clair leur définition respective. Mais qu'est-ce qu'une rumination et une préoccupation? Préoccupation : Une idée, un souci, une inquiétude qui occupe le mental. Rumination : Une préoccupation, un sentiment qu’on ne peut contenir ou réprimer mentalement. La caractéristique principale des ruminations est le fait qu’elles tournent en boucle dans notre esprit. Nous les nourrissons avec leurs ingrédients favoris, soit les peurs et les préoccupations. Les idées obsessionnelles agissent d’une manière à intensifier encore plus l’anxiété. Ces pensées entretiennent les limitations qui nous enferment mentalement et parfois physiquement, en ne nous affichant que des images, des raisonnements peu utiles et qui nous influencent négativement et même, complètement perdre notre raison. Il n’est pas possible de les ignorer. Cependant, il est possible de prendre une distance par rapport à ces ruminations et d’obtenir un autre point de vue, de voir d’autres possibilités contribuant à améliorer la situation et à se sentir de mieux en mieux. Je l’ai dit plus haut, les ruminations viennent de préoccupations qui viennent à leur tour d’un souci à l’origine de nos croyances, de nos valeurs. Et ces pensées limitantes nous empêchent de nous concentrer, de bien dormir et de vaquer à nos occupations librement. Ces préoccupations prennent tellement de place que nous nous croyons incapables de les jauger d’un point de vue détaché, extérieur. Et c’est pour cette raison qu’elles prennent autant de place et tournent en boucle, nous obsèdent, nous hantent. Sa source menacée La plupart du temps, ces pensées sont négatives et sont une menace à notre intégrité, à notre valeur, à notre essence profonde. Elles insécurisent qui nous sommes et ce que nous avons bâti. Sinon pourquoi prendraient-elles autant de place si elles n’affectent pas le « Je suis ». C’est ce qui affecte notre côté émotionnel, rationnel, spirituel et même physique, selon les cas. Ce focus négatif génère des sentiments exponentiels, nous déviant de l’objectif et de qui nous sommes profondément. Quand nous vivons un stress ou traversons des périodes d’anxiété, il est possible que les préoccupations apparaissent et deviennent des ruminations, qu’une partie de nous leur attribue un pouvoir qui ne convient pas. L’anxiété prend sa source dans les peurs et les peurs peuvent provoquer des ruminations comme les ruminations provoquent des peurs en menaçant notre source. Ce n’est pas raisonné, raisonnable. Donc de se dire ou d’entendre à ce moment : « Arrête de te projeter dans le futur. Reste calme ». Ne cesse à rien. Voici quelques exercices pour vous aider à sortir du tourbillon des ruminations et considérer les préoccupations pour ce qu’elles sont : des soucis, des idées qui ont une finalité, une solution. Des outils pratiquent pour gérer les ruminations. La Liste des pensées Faire une liste des pensées apporte une logique dans les possibilités de résolution. Par exemple : un étudiant qui a peur d’échouer son année scolaire à la suite d’un mauvais résultat à un examen. Après cet événement, l’étudiant commence à penser qu’il est nul. Que tous les camarades de classe sont meilleurs que lui et qu’ils le jugent par ce résultat. Il se replie sur lui-même. Chaque jour, tourne en boucle cette obsession qu’il va tout échouer aux examens. Qu’il ne sait pas comment bien étudier et que les autres sont bien meilleurs, en plein contrôle. Ce cycle de pensées négatives, obsessionnelles, ruminantes finira probablement par provoquer l’échec aux examens parce qu’il y croit de plus en plus. Alors, pour faire revenir l’équilibre et la cohérence dans les pensées, la solution est de faire la liste des pensées qui le gardent dans cette énergie basse, négative et contre-productive. « Je sais que je vais échouer mon année scolaire » « Les autres élèves sont tous meilleurs que moi » « Les autres croient que je suis un incapable » Une fois la liste de chaque idée négative écrite, il est maintenant temps de penser à la véracité ou non de chaque énoncé. Y a-t-il un fait démontrant que cela est vrai ? Est-ce que les enseignants ont porté à mon attention un danger dans ma réussite ? Ce que j’ai fait pour cet examen est-il différent de ce que j’ai fait pour les autres examens que j’ai réussis ? Est-ce qu’un élève a dit avec des mots que je suis un incapable ? Si la réponse est non, la pression descend d’un cran et on garde à l’esprit les faits. On passe à l'action pour réussir. Il est possible que l’élève échoue parce qu’il n’a pas compris la matière, dans ce cas, c'est sa responsabilité de demander de l’aide aux enseignants et d’assister aux récupérations scolaires. Se responsabiliser c'est trouver des réponses à ce que nous vivons en ce moment. La hiérarchie des préoccupations Un autre exercice pour reprendre notre pouvoir sur cette source de pensées obsédantes, de sensations négatives et d’angoisses est de clarifier les choses. Et comment ? En faisant une hiérarchie des préoccupations qui ira de la plus légère à la plus lourde. La première étape est d’écrire tout ce qui nous préoccupe sur une feuille. Ensuite, on définit la hiérarchie en terminant par les problèmes que nous envisageons comme les plus importants dans le sens où ils nous paralysent plus jusqu’à écrire en haut de liste, ceux qui nous préoccupent moins. Une fois que nous visualisons l’ordre d’importance des préoccupations, il sera temps de réfléchir à chaque point et de trouver une solution à chaque échelon. Hé oui ! Un journal intime Il est complètement faux de dire que nous ne vivrons jamais de pensées préoccupantes et intrusives. Une façon d’être attentifs à ces circonstances est de tenir un journal intime. La simple action d’écrire nos émotions vécues et sentiments au quotidien, de noter ce qui nous passe par la tête, d’observer et de tenir un registre des moments où surgissent ces états internes, permettra de prendre conscience de certaines choses. C’est une possibilité que des personnes, des événements ou des moments répétitifs, cycliques de notre vie de tous les jours, nous font perdre le contrôle de nos pensées, qui nous amènent à être plus vulnérables, à avoir des préoccupations ou à vivre de la colère, de la tristesse, de la peur, des doutes. Avec le journal personnel, on observe notre quotidien et on voit les patterns, les points communs dans les différentes situations par la mémoire des écritures que l’on fait ou en se référant directement à nos écrits. Peu importe l’outil que vous choisirez, au fur et à mesure que vous accorderez du temps pour faire de la place mentalement en écrivant, vous vous rendrez compte de ce que vous vivez réellement et pourrez mieux gérer ces pensées. Pourquoi ? Parce que vous allez être dans l’observation de qui vous êtes, et ce que vous vivez, comment vous le vivez. De cette façon, vous verrez une autre perception de ce qui est présent, des possibilités auxquelles vous n’aviez pas pensé. Vous aurez une vision différente de ce que vous vivez. Est-ce de la pleine conscience ? La pleine conscience permet de percevoir ce qui est présent. Nos gestes, nos sentiments, nos réactions, nos pensées. Qui nous sommes finalement Mais aussi ce qui nous entoure, les distractions, les bruits, les ambiances. Quand tu regardes le soleil se lever, y a-t-il autre chose que d'être dans le moment présent et de contempler la beauté de cet instant? Autre chose que d'écouter ce chant des vagues et observer le ciel se métamorphoser à chaque minute du temps. Être ici et maintenant est utile pour ne pas rester sur le pilote automatique trop longtemps et vivre notre vie pleinement. En apprenant à vivre dans le présent, on s’entraîne à penser autrement, à améliorer la qualité de ce que nous pensons. C’est comme faire un nouveau sport ou apprendre un nouvel art, pour le maîtriser et développer des compétences, le choix est simple. Pratiquer. Quand on prend le temps de prendre le temps de se choisir et prendre acte avec les outils utiles pour un changement d’état. Lorsque l’on voit les préoccupations, les ruminations telles qu’elles sont, soit de simples idées, des soucis et que l'on prend de la distance par rapport à elles, tout devient plus clair et s’ouvre un monde de possibilités inattendues. Reste maintenant à passer à l'action. Bon temps à toi pour toi, Je suis Véronique 💜 Naturothérapeute praticienne hypnose Praticienne Access Bars et ParAmourHYCIE

  • Les humeurs d'automne

    Ouf ! Ça t’arrive de te dire … Enfin! La semaine est finie ! Peut-être même. Enfin! La journée est finie!! Moi aussi. Et encore plus aux changements de saison comme à l’automne. Je me sens comme un ours qui ne veut que se rouler en boule dans le creux d’un arbre. L’automne est une de mes saisons préférées. Pour les couleurs, les odeurs, les rayons chauds du soleil sur ma peau comme s’ils nous disaient “Profites-en!” en nous annonçant leur rareté au travers des journées grises. C’est aussi la nostalgie de ces journées chaudes, j’adore la chaleur. Probablement un lien avec ces étés où j'étais “lifeguard” à la piscine de la ville de Nicolet et que je passais mes journées sous le soleil brûlant, assise en hauteur, dans la chaise de surveillance vissée dans l'asphalte. L’adolescence est reliée à cette période de ma vie. Bref je m'égare dans ma nostalgie. Pisst! Ici nostalgie signifie que j’éprouve un peu de tristesse de cet été qui est déjà terminé. Un peu comme pour l’adolescence … si j’avais su, il y aurait possiblement certaines choses que j'aurais faites ou pensées différemment. Mais on en reparlera dans un autre texte. Je reviens à ici et maintenant L’automne, c’est le temps de faire le ménage. Dans nos maisons, mais aussi en nous. Se reposer, se ressourcer, se définir - se redéfinir. Oui! L'automne est la saison des ressourcements, le retour à son centre. Dans la nature, les arbres perdent leurs feuilles et canalisent leur énergie dans leurs racines, certains animaux hibernent, d’autres hivernent. C’est normal de se sentir fatigué, sans énergie puisque notre corps est aussi en ralentissement. Et possiblement chargé en émotion, stressé, anxieux, angoissé, triste, mélancolique. Peut-être encore plus, s’il y a une nouvelle lune en scorpion et une éclipse solaire au même moment comme en octobre dernier. De même qu’une autre éclipse, une éclipse lunaire avec la pleine lune de novembre. OUF! Chez moi, les lunes je les ressens. Je vous invite à observer vos états physiques, vos humeurs et à regarder dans le calendrier la progression de la lune. Prenez des notes dans l’agenda et voyez les constantes pour vous connaitre de plus en plus. Pourtant, dans nos milieux de travail, c'est souvent la folie à l’automne. Alors que l’été a doucement coulé, tout reprend à plein régime en septembre : le travail, l’école, les sports, les entraînements, Halloween, le magasinage de Noël… Je cours, je gère, je cours et je gère, je cours, je souffle et je gère, je boite, je manque d'air, je stress, je panique, je dors mal, je suis à "boutte", je n'en peux plus, je pogne les nerfs. Ça te dit quelque chose ? Cette année, j’ai choisi de faire autrement. J’ai mis à l’agenda des moments à moi pour hiverner quelques heures dans ma bulle, dans mes ressources, pour aller de mieux en mieux et de plus en plus douce, juste, honnête et confiante. Et pourquoi pas pendant la semaine, quand les enfants sont à l'école. Yes madame! Préparer une soupe-repas à la mijoteuse pendant que je suis dans ma doudou à écouter une série, lire un livre ou encore au spa. Why not peanut! Pour moi, les rituels sont importants. Je suis une fille au tempérament plutôt tranquille, réaliste et qui aime le concret. Chaque rituel me permet de me connecter à qui je suis, ce que je désire, où je veux aller. Être de plus en plus authentique à l’intérieur comme à l’extérieur. Ça t’arrive toi de te perdre à l’intérieur et avoir l’impression de ne pas “raccord” avec qui tu es? De te sentir déphasé? De jouer une “game”? D’être derrière ton masque? Clairement, en automne, je profite des couleurs parce que la nature est source d’énergie. Je me débarrasse des inutiles pour moi, je donne au prochain et j’aère mon espace, mon mental. Je t’invite à essayer quelque chose de nouveau et à te choisir, ton monde sera différent. Tout comme ta perception sur le monde, l’entourage. Je t'offre Un exercice de ressourcement La bulle des ressources est un des enseignements parmi d'autres dans mon accompagnement. Un espace où on se sent bien, à son meilleur et à son top. Un endroit que l’on définit et qui s'emporte partout, à n'importe quel moment où j'ai besoin de me connecter à ma source. Je t’explique la base, son fondement. Tu pourras faire un bout avec ça vers plus de calme. Vas-y ! Ferme les yeux et respire. Imagine-toi cet endroit. Un espace que tu aimes. Le milieu qui te fait te sentir hyper bien. La forêt, ton lit, une île déserte, le château de Poudlard ... Peu importe tant que c’est un endroit qui te parle à toi. Et tu peux sentir un certain réconfort, un sentiment de calme, tu sens que le temps est ralenti. Tu peux sentir la chaleur des draps, les rayons du soleil, le vent sur ton visage ou respirer l’air salin. Vois-tu? Ressens-tu ce que tu imagines? Alors tu poursuis dans cette visualisation de ce que tu aimes, de ce qui te fait du bien et où tu te sens à ton top, à ton meilleur, en toute confiance et sécurité, où tu te sens toi-même à ton 100%. Doucement, tu ressens ton système qui descend d’un cran ou deux. Tu découvres cette énergie dans ton corps qui circule, tu ressens peut-être même des frissons comme la chair de poule. Pendant que tu façonnes profondément et de façon autonome cette expérience agréable pour ton harmonie intérieure, l’inconscient et le conscient collaborent à plus de liberté. La magie dans tout ça c’est que tu peux faire cet exercice de visualisation pour calmer ton corps et ton esprit quand tu veux, où tu veux et à chaque fois que tu le veux. Dans nos vies, peu importe ce qui s’y trouve, ce que l’on vit, on a toujours des choix. Aujourd’hui, si tu as un seul choix à faire, je te suggère de faire la bulle des ressources. Ensuite tu verras les autres possibilités. À très bientôt, Je suis Véronique 💜 Naturothérapeute praticienne hypnose Praticienne Access Bars et ParAmourHYCIE

  • Qui êtes-Vous?

    Avez-vous toutes les possibilités d'être qui vous êtes? Savez-vous être? Comment pouvez-vous faire autrement? Comment est votre vie ? Il vous arrive de vous dire “Pourquoi ça me tombe toujours dessus?” “Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça?” “Mais qu’est-ce qu’ils ont tous à être contre moi?” “Je suis tellement nul” “Je ne serai jamais capable de …” "Je manque de temps” “À quoi bon essayer, plusieurs l’ont fait sans réussir” Et si ce qui vous arrivait ne dépendait pas des autres, de l’environnement. Comment trouvez-vous un bon partenaire de vie ? Comment trouvez-vous un meilleur emploi? Comment faire pour que nos relations s'entourent-elles de personnes honnêtes, de véritables amis? Qu’est-ce qui vous permet de mener une vie agréable ? Vous trouvez ce que vous êtes Je sais. Ça fait mal comme constat. Mais pensez-y. Votre vie est faite de ce qui se trouve autour de vous, est motivée par la façon dont vous vivez, par qui vous êtes, sincèrement, profondément et régulièrement. Alors si vous agissez dans chacune de vos journées avec honnêteté et respect. Si dans chacune de vos relations vous parlez avec bienveillance et sincérité. Vous vivrez dans ses valeurs. De même que si vous désirez trouver un meilleur emploi, vous irez vous former davantage pour y arriver si nécessaire. Ne serait-ce qu’une formation courte pour aller chercher une compétence et les employeurs compétents remarquent cet engagement à avancer, évoluer. Vous me direz "Oui mais ce n’est pas aussi simple". C’est vrai! Prendre soin d’être qui nous sommes véritablement. D’être aligné à nos valeurs pour qu'elles se répercutent fidèlement dans notre monde. C'est potentiellement un défi pour vous. Tout dépend de vos priorités. Je vous invite à réfléchir et vous rappelez cette phrase. "Votre monde n’est pas le monde" c'est un principe de la PNL que j'affectionne. Ce qui veut dire que chacun à sa propre interprétation d’une même situation. Et cette situation n’est plus vraiment comme la réalité puisqu’elle est maintenant un souvenir, avec vos perceptions. Prenons un exemple assez simple pour expliquer ce que je veux dire. Alors que sur la photo d’une fête d’enfants, nous dirons “ c’est Émilie à sa fête” en fait, ce n’est pas vraiment Émilie. C’est une représentation d’Émilie à sa fête. Quelqu’un d’autre pourrait aussi dire, c’est Émilie avec ses amis à sa fête. C’est aussi vrai que sur la photo, il y a des amis. Et c’est toujours la même représentation, la même photo. Mais chacun voit et exprime l'image à sa façon. Comme tout souvenirs, situations, chacun à sa perception et l'exprime avec son habilité de la communication. On dit souvent qu’il y a deux côtés à une médaille. Alors que vos pensées se dirigent vers le côté de la médaille qui représente votre personnalité blessée avec des questions telles que “ pourquoi moi?”. Posez-vous la question de ce qu’il peut bien y avoir de l’autre côté de cette médaille. Et si cette situation n’était pas là en vain ? Qu’est-ce qu’il peut bien y avoir à gagner ? Quel est votre langage intérieur face à cette situation ? Quelles sont les pensées qui vous bloquent, qui font que vous restez sur place? Vous vous rappelez les croyances limitantes? Le temps arrange les choses Mais ça ne signifie pas d’attendre que les choses s’arrangent. Einstein disait “La folie, c’est se comporter de la même manière et s’attendre à un résultat différent.” Passer aux actes pour que la vie soit celle que tu souhaites, c’est être honnête envers soi-même et se respecter parce que tout le monde mérite une vie meilleure. Tout est en toi pour y arriver. Le défi est de voir au-delà de ce qui est là. Et ce que j’aime le plus dans ma pratique, c’est de voir les gens repartir avec cette nouvelle vision. Qu’est-ce que je peux faire d’autres que je n’ai jamais fait pour que cette situation ne se répète pas une fois de plus? Connaissez-vous ce qu’est la différence entre ceux qui réussissent et ceux qui n'atteignent pas leurs objectifs ? C’est le CHOIX de l’ACTION. Une action et une autre, répéter sans arrêt, encore et encore. Être discipliné, engagé. Agir sans les fausses bonnes excuses qui font que tu te comportes autrement que ce qui doit être fait pour réussir. Déjouez-les, ces excuses ! Vous n’y arrivez pas ? Trois possibilités : Soit vous n’avez pas fait le choix des bonnes actions. Soit vous ne savez pas quoi faire et vous faites du sur place. Soit vous vous êtes investis, mais les résultats tardent à venir. Dans ce cas, une réflexion s'impose. Qu’avez-vous à apprendre ? Pourquoi ça ne marche pas? Ce sont de bonnes raisons pour lesquelles il est indispensable de se faire accompagner pour avancer et voir d’autres perspectives. Prendre le temps de s’arrêter, de penser, de trouver les actions, les changements, les visions de notre vie de demain et s’y engager pour soi-même avec bienveillance, respect, honnêteté. Soyez doux avec vous-même et soyez vrai envers vous-même. Souvenez-vous que les actions peuvent aussi être des paliers, des étapes, des objectifs à atteindre menant vers une autre action, un autre palier, étape, objectif. "Rome ne s'est pas faite en un jour” Bonne réflexion Je suis Véronique 💜 Naturothérapeute praticienne hypnose HYCIE Praticienne énergie ParAmourHYCIE et Access Bar

  • 5 étapes pour identifier nos croyances limitantes

    Je pense donc je suis Saviez-vous que l’une des plus grandes sources des défis qu'un humain rencontrera au cours de sa vie sera ses propres croyances ? Très peu d’entre nous savent qu’ils ont des pensées limitantes. Ce concept est assez connu et discuté par plusieurs adeptes de la croissance personnelle. Mais savez-vous exactement leurs impacts dans votre vie? Mais qu’est-ce qu’une pensée ou une croyance limitante ? Premièrement, cette croyance limite la pensée de ce que l’on croit possible. Il est possible qu'elle soit mise en place par “accident”. Je vous explique. Souvent, ce type de limitations viennent de l’entourage, du milieu familial, de l’enfance. Nous captons les croyances des autres ou leurs peurs, et ce, de l’enfance à l’âge adulte. Ce qui fait qu’elles se collent à nous et font finalement partie de nos propres croyances. Alors qu’elles ne nous appartiennent pas. En voici des exemples : « Être né pour p’tit pain » « C’est trop beau pour être vrai » « Les gens qui gagnent beaucoup d’argent sont superficiels » Une croyance limitante est reconnue pour son côté tout le monde et personne, toujours, et jamais, tout ou rien, correct ou incorrect. Dans la réalité de la vie, ce n’est pas aussi défini, vous le savez bien! La vie est faite de plusieurs zones dégradées de blanc à noir, de toujours à jamais, en passant par souvent, parfois, à l’occasion, de tout, à un peu et rien ou encore de tout le monde, à certaines personnes ou très peu de gens à personne. Les croyances qui viennent de notre famille, y sont souvent depuis des générations. Ne pas y adhérer peut être pour certains comme de renier ses liens familiaux. Et il y a les phrases qui nous ont été répétées à maintes reprises. Il me vient un exemple de mon enfance, alors que l’on me surnommait sans méchanceté « Miss prune ». Ce qui insinuait que j’étais maladroite. Cette étiquette est devenue une pensée limitante, ainsi je trébuchais, me cognais, perdais l'équilibre, bref je sabotais ma performance quel qu'elle soit, pour « prouver » que j’étais incapable de réussir parce que je n’étais pas habile. À cette époque, c'était inconscient. Ces croyances qui viennent de nos sentiments Nous sommes donc aussi responsables de certaines pensées qui nous limitent. Effectivement, certaines de nos croyances viennent de sentiments vécus. Par exemple « Je ne suis pas bon en anglais, je n’ai jamais eu de bons résultats. Je ne pourrai jamais me trouver un travail qui demande de parler anglais. » Ainsi, la peur de l’échec est derrière cette croyance qui a été mise en place pour nous protéger. Effectivement, ça semble bien réel dans votre esprit, mais pour les gens qui vous entourent ils vous répondront que vous n’avez qu’à suivre un cours pour vous améliorer. Cependant, vous êtes convaincu que ce n’est pas possible, que vous échouez dans tous les cas. Vous avez créé ce principe qui, dans un certain sens, vous protège d’un certain sentiment, la peur d’échouer. Si vous avez besoin de lire sur les sentiments et les émotions, je vous invite à lire le blog à ce sujet. Alors vous vous empêchez de retourner apprendre l’anglais à cause des sentiments présents et non parce que vous êtes incapables de le faire. En ne passant pas à l’action, en restant sur place, ces sentiments sont nourris et s’amplifient, s’ancrent. Voilà que nous sommes dans un cercle sans fin. Il n’est pas utile et important de savoir d’où vient la pensée limitante. Ce qui est vraiment pertinent est de prendre conscience qu’elle existe et vous garde sur place. Les pensées ou croyances limitantes nous bloquent des ressources qui sont en chacun de nous. Comment identifier vos croyances limitantes 1— Notez vos croyances. Prenez une feuille de cartable, un cahier, une page de note dans votre cellulaire ou un document Word et commencez à écrire vos pensées, vos croyances, vos idées fixes. L’idée de prendre un cahier est pour visualiser votre évolution. Les pensées limitantes, suite à l’exercice, ne feront pas toutes parties du passé. C’est une introspection à refaire chaque fois que nécessaire pour nous permettre d’évoluer. Du genre « Il est impossible de refaire une vie amoureuse à la suite d’une séparation quand tu as des enfants » Identifier sur une échelle de 1 à 5 à combien vous y croyez. 5 étant j’y crois sans aucun doute. 2— Posez-vous la question, à chacun de vos énoncés, est-ce vrai ? Vraiment vrai, je veux dire! Pour vous aider, un fait peut généralement être vérifié. Des croyances ne peuvent être vérifiées hors de tout doute. Faites l’exercice de trouver une seule fois où cet énoncé s’est trouvé non fondé. Vous trouverez possiblement un humain de votre entourage qui a refait sa vie après un divorce même avec des enfants. 3— Réfléchissez. En quoi, cette croyance, ces pensées vous servent. Tout à un objectif, un but, un message. Cherchez dans votre esprit ce qui se passe en lien avec cet énoncé. Elles y sont souvent par protection ou par sécurité. Il est temps d’être honnête avec vous-même et ouvert à ce que vous allez découvrir pour aller de l’avant. 4— Maintenant, trouvez en quoi cette pensée vous bloque, vous empêche d’avancer. Demandez-vous ce qu’elle vous empêche de réaliser. En quoi elle vous fait stagner ? Après cet exercice, il sera plus facile de changer vos perceptions. 5— La dernière étape de réflexion consiste à établir ce que vous aimeriez croire. Quelles sont vos aspirations de vie ? Où aimeriez-vous être dans 1 an, dans 5 ans ? Quels sont vos besoins ? Que veux-tu ressentir ? Que veux-tu voir autour de toi ? Pour chaque croyance couchée sur papier en début d’exercice, trouver son opposé. « Nous sommes nés pour p’tit pain » deviendrait « Je mérite l’abondance financière » Passez à l’action Chaque fois qu’une pensée limitante refait surface, allez chercher son opposé, votre nouvelle croyance. Et de plus en plus, votre cerveau créera un nouveau chemin vers cette nouvelle croyance positive qui deviendra celle qui occupera maintenant la place. Les croyances limitantes sont fortes parce que ça fait longtemps qu’elles occupent votre esprit. Changer votre perception demandera donc du temps, de la patience et surtout de l’entraînement. Commencez par la croyance la plus évidente, un petit pas à la fois, une croyance à la fois. Donnez-leur un ordre de priorité dans votre cahier en vous basant sur votre objectif, votre besoin. Le progrès est le résultat de ceux qui font ce qu’ils ne se savaient pas capables de faire. Le changement ne peut s’opérer en restant dans de fausses bonnes excuses et des idées préconçues. Sortir de sa zone de confort, tenter une nouvelle approche avec de réelles bonnes intentions. Le dénouement apportera une montée de confiance en soi et contribuera à améliorer votre estime personnelle. C’est en faisant autrement de ce qui vous semble confortable que vous allez grandir, vous réaliser et vivre une vie différente, meilleure. Chaque limite que vous avez est là pour être transcendée. Sans pour autant trahir votre famille. Votre désir est d’être plus heureux et par conséquent, de changer les comportements qui nuisent à votre bonheur, votre paix intérieure. Et même si aujourd’hui, vous voyez ce challenge comme une montagne, demain, vous aurez plus d’espace et la vision libre pour voir le lever de soleil. Bien sûr, la figure de style ne renvoie pas littéralement à demain, mais à un avenir suivant votre action, votre changement. Si vous sentez que vous avez besoin d’un coup de pouce, levez la main pour un accompagnement. À vos cahiers ! Et bonnes réflexions. Juste et honnête envers toi-même :) Je suis Véronique Martel Naturothérapeute praticienne hypnose Praticienne énergie ParAmourHYCIE et Access Bars

  • 3 raisons d’arrêter le temps

    Oui ! Arrêter le temps. Arrêter la routine, les obligations pour reconnaître tout ce que l’on accomplit. Effectivement, on fait beaucoup pendant une journée, une semaine. Et le week-end, nous continuons à remplir l’horaire pour satisfaire un besoin de faire autre chose que nos « To do » de la semaine. Faire, faut faire, doit faire Parce qu’il faut se divertir, faire de l’exercice, développer des intérêts… et particulièrement nos enfants. À la suite d’une semaine qu’ils ont passé assis sur les bancs d’école à apprendre, le week-end ils doivent suivre des cours et apprendre à nager, skier, chanter, dessiner, patiner… se comparer, compétitionner, se faire juger… Mais si pour cheminer vers notre bonheur, les congés servaient aussi à se ressourcer. Et être. Sans horaire, sans temps. Se connecter à qui on est. 1- Apprendre à être seul. Enfants, adolescents et adultes ont besoin de moments de solitude pour comprendre qui ils sont. Un enfant qui joue seul laisse toute la place à sa créativité. Alors que cet enfant est habitué à être organisé, les premiers moments de solitude sans horaire paraîtront un défi, ennuyant et déroutant, mais la persévérance aura à long terme des avantages essentiels dans sa vie d’adolescent et d’adulte. Voici certains avantages de la créativité : Apprendre à réfléchir Cultiver la curiosité Accepter les échecs et en rebondir Développer sa capacité d’adaptation. La solitude procure aussi plusieurs avantages et en voici deux très importants à mon sens : Gagner en confiance Devenir plus indépendant Quand on apprend à être seul, peu importe son âge, on accorde moins d’importance au regard des autres, à la recherche d’être continuellement entouré. En ce sens, l’esprit se repose puisque vous n’avez qu’à vous soucier de vous-même. Vous devenez plus productif une fois ce temps de ralentissement passé, vous avez eu le temps de rêver, de rassembler les idées pour un projet, de prendre du recul d’une situation. La solitude permet aussi de mieux apprécier la compagnie des autres. Il y a de nombreuses façons d’être seul. Quelques heures dans un SPA, partir en randonnée, se lever plus tôt que le reste de la maisonnée… 2- Prendre le temps de se connaître Parce que oui ! Pour en apprendre sur quelqu’un il ne s’agit pas seulement de s’asseoir et discuter. Je dirais même que pour comprendre l’autre, il est préférable de passer du temps ensemble avec des silences. Ma tante Sylvie me disait, alors que j’étais une jeune adulte à la recherche de l’amour : « Tu veux savoir si une personne est un bon partenaire? Va quelques jours en camping. Tu le sauras assez vite ! » Ce qui s’est avéré plutôt exact. Si après quelques jours de rusticité, le sentiment d’être bien ensemble est toujours présent, il y a de fortes chances que la cohabitation et les défis de vie se fassent en équipe. Mais dans ce texte, je veux surtout parler dans une même famille. Trouver un intérêt commun ou une activité à découvrir et passer du temps ensemble. Vraiment. L’un avec l’autre. Et puisque du temps de solitude est aussi au programme, les idées sont claires, la confiance vous habite et votre attitude est au calme. Être calme ne veut pas dire sans énergie, mais plutôt être calme en soi, sans ce tourbillon qui roule à vive allure ou cette gorge qui serre. D’ailleurs, chercher à découvrir les signes qui annoncent le temps à la solitude et trouver votre rythme afin de ne pas atteindre cette limite. Pour les parents qui ont plus d’un enfant, passer du temps avec un enfant à la fois est très gagnant pour la relation parent et enfant, mais aussi pour son estime et votre lien de confiance mutuel. Un enfant peut partir une journée avec papa et pendant ce temps maman passe du temps avec le reste de la bande. Vice versa et pour chacun des enfants de la famille. Il est très intéressant de voir évoluer son enfant dans une activité sans sa fratrie et avec un seul parent. Sa personnalité profonde, son langage, ses réflexions sauront vous émerveiller, vous rassurer et vous rendre fier. Son comportement peut différer avec un parent et avec l’autre. Ce qui est normal et doit être accueilli sans jugement, sans jalousie. Votre enfant va chercher différents éléments de chacune de vos personnalités, il apprend, il observe, il ose. Ce temps privilégié aura pour cet enfant une valeur inestimable, particulièrement si l’activité lui permet d’être qui il est, de développer ses intérêts, que ce soit de vous initier à son univers ou de tous deux découvrir quelque chose de nouveau. Passer du temps avec un enfant devrait, à mon sens, être répété au moins une fois chaque saison. Vous avez 3 enfants ? C'est 24 jours par an soit une journée à chaque saison par enfant avec chaque parent. Et quelques heures suffisent à développer cette richesse pour toute la vie. 3- Ne rien faire J’ajouterai sans culpabiliser. Puisque ne rien faire, contribue au bonheur en réduisant le stress et l’anxiété. Ce n’est pas peu dire, n’est-ce pas ? Quand on voit du temps se pointer dans l’agenda, on pense immédiatement à organiser un souper, faire une excursion, peindre une pièce. Mais si vous ne planifiez rien ! Rien comme dans rien ou comme dans rester à la maison en mou à reprendre contact avec soi et la bande. Nous avons de moins en moins de temps pour nous reposer. On s’achète des montres pour calculer la fréquence cardiaque, le nombre de pas, le temps de sommeil, de travail, d’entraînement. Et si nous arrêtions de compter ? On ferme les cellulaires, les portables, les montres intelligentes. On ne répond à aucun texto, message, sonnerie. Je sais, pour certains enfants, adolescents et adultes le défi sera grand. Soyez leader et agissez par l'exemple. Offrez la possibilité de déconnecter une première heure, puis une autre autre. Et la principale raison pour instaurer ce genre de pratique est qu’elle est bonne pour la santé. Votre corps, votre esprit ont besoin de se déconnecter de l’extérieur pour se connecter à l’intérieur de soi, et ce, pour chaque membre de la famille, peu importe l’âge. Cependant, si vous vivez certaines situations comme un deuil, une dépression, dans ce cas, il faut se mettre en action et être accompagné. Avant de vous laisser partir Mon objectif avec l'écriture de ces 3 bonnes raisons de changer la routine, les horaires en lâchant prise sur FAIRE est de contribuer à une réflexion sur la préparation du retour à l’école, au travail et à l’automne à venir, à l’année à vivre. Vers ÊTRE, vers VIVRE plus calme, plus confiant en vous plaçant en priorité pour générer plus d’énergie pour vos obligations, rendements et dans votre quotidien. Si vous avez besoin d’un accompagnement pour y parvenir, je vous invite à prendre rendez-vous avec moi. Au bonheur ! Je suis Véronique 💜 Naturothérapeute praticienne hypnose HYCIE Praticienne énergie ParAmourHYCIE et Access Bars

  • Prendre du recul pour mieux avancer

    L'anxiété chez les enfants ___ Parfois pour saisir ce qui se passe dans le tourbillon de la vie de famille, il est nécessaire de prendre du recul, de se décoller le nez de l’arbre et de regarder l’image de ce quotidien pour comprendre ce qui s’y joue. La peur, le stress et l’anxiété Chez les enfants, la notion de stress et d’anxiété est souvent créée par la peur. Par exemple, l’arrivée d’un gros chien inconnu qui jappe fort en montrant les dents provoquera une réaction normale à un danger réel. Le corps s’arrête pour faire face à une menace. Il y a une montée d’adrénaline et un stress qui finalement s’estompe quand le chien est plus calme ou maîtrisé. L’anxiété est une émotion en réponse à une impression de danger. Reprenons l’exemple d’un chien. L’enfant voit le chien, il s’imagine qu’il va foncer sur lui en jappant les dents sorties, prêt à le mordre. Le corps réagit de la même façon que lors d’une réaction de peur face à un danger réel, sauf que dans ce cas, le chien est calme. L’anxiété peut prendre de plus en plus de place et il est important d’intervenir. L’anxiété peut générer une grande détresse, devenir de plus en plus difficile à contrôler et nuire au fonctionnement quotidien de votre enfant 5 causes de l’anxiété chez l’enfant. Plusieurs raisons peuvent être la cause de cette anxiété et je vais en explorer quelques-unes avec vous. 1. Un changement important L’arrivée à la maternelle, un déménagement, une séparation, l’arrivée d’un nouvel entraîneur sont autant d’exemples de changements pouvant créer l’anxiété chez un enfant. Mais avec le temps, l’adaptation aura fait diminuer cette anxiété et ce sera le retour à des temps plus calmes, à des comportements plus associés à votre enfant au quotidien. Cependant, s’il s’avère que cette anxiété dure plus d’un mois, il est temps de prendre en main la situation. 2. Des événements vus à la télévision, sur le net ou dans l’entourage Bien oui ! Certains films ou des images des nouvelles ou des scènes vues dans la rue, chez des amis ou encore dans la famille peuvent provoquer de l’anxiété. 3. Le manque de routine Je vous le dis, la routine ne tue pas dans certains cas. Et spécialement chez les enfants, bien au contraire ! Les enfants ont besoin d’évoluer dans un milieu encadré où la mise en place de rituel pour le dodo, entre autres, mais aussi pour l’alimentation est reliée avec le maintien d’une hygiène de vie, actuelle et future visant à réduire l’anxiété. Tout simplement parce que ces gestes répétitifs sont sécurisants. 4. La surprotection Surprotéger son enfant peut développer un manque de confiance en soi, avoir cette impression que si l’adulte n’y est pas, il est en danger, est incapable de prendre une décision ou n’a pas de jugement, selon l’âge. Ce manque de confiance est une cause d’anxiété chez plusieurs enfants et adolescents. 5. Des exigences trop élevées Pour un enfant, plaire à ses parents est précieux dans le développement de sa confiance, de son estime. Mais quand les exigences et les attentes sont hors d'atteinte, le défi devient trop grand et l’anxiété de performance plante ses graines parce que l’enfant vit avec la peur de l’échec à la vue des exigences trop élevées. Reconnaître les signes de l’anxiété Vous connaissez bien votre enfant, vous êtes bien placé pour faire la différence entre un état d’esprit changé momentanément ou qui perdure. Faites-vous confiance. Si votre enfant présente les signes suivants, un ou plusieurs signes, il est maintenant important de trouver des moyens d’augmenter sa confiance en lui, son estime de lui-même, de l’aider à retrouver de la sécurité et du calme, donc de diminuer l’anxiété. S’il est anormalement agité, irritable et de mauvaise humeur. S’il fait des crises de colère, il pleure ou est triste ou préoccupé. Si votre enfant vit avec des malaises physiques comme des maux de tête, des maux de ventre, des maux de cœur, il n’a plus d’appétits, il manque de concentration. S’il a des problèmes de sommeil. Il a de la difficulté à s’endormir ou il refuse d’aller au lit. Si votre enfant cherche constamment à être avec vous, que vous le rassuriez à chaque instant. S’il évite certaines situations, comme aller chez des amis, aller à l’école ou se faire garder. S’il ne se fait pas d’amis S’il réagit fortement, excessivement à certaines situations qu’est-ce que vous pouvez faire comme parent ? Le premier conseil à suivre est de ne pas banaliser ce que votre enfant vit. Le second conseil est d'éviter de dramatiser ce que votre enfant vit. Votre enfant vit dans la réalité et ce qu’il ressent est aussi vrai. Ce n’est pas pour attirer l’attention, se rendre important ou pour quelques autres raisons que ce soit. C’est bel et bien réel. Le troisième conseil que je vous invite à faire est d’être à l’écoute, de l’observer et de lui poser des questions douces sur sa journée, sur des événements. L’objectif est d’apprendre à mettre des mots sur ce qu’il vit. Il est primordial que vous-même soyez disponible et 100 % dans le moment présent avec votre enfant, de ne pas ridiculiser ses mots et de lui laisser le temps de répondre pour ne pas lui mettre des mots en bouche. Le quatrième conseil est de mettre en place un tableau des émotions. Faire un calendrier avec des collants ou pictogrammes représentant les émotions de colère, tristesse, joie, stress, calme. L’enfant choisira le collant de son état d’esprit en arrivant de l’école et le collera dans la journée sur le calendrier des émotions. Et, vous pourrez ouvrir la discussion lorsque vous serez disposés tous les deux à échanger calmement, et ce, la même journée. Penser à adapter votre routine pour avoir ce moment privilégié avec lui sans pour autant forcer la discussion. Les journées où il n’a pas envie de parler, vous pourriez raconter une histoire sur les émotions qui le concerne ou complément à l’opposé pour changer les vibrations. Des bijoux de livres sur les émotions existent en librairie. Le cinquième est de le féliciter pour ses accomplissements. Il peut être intéressant de revenir sur des peurs vécues alors qu’il était plus jeune et qu’il a surmontées. Ou de le féliciter pour les efforts mis à la réussite d’un examen pour les efforts. Et finalement si vous savez qu’il y aura du changement dans les prochains jours, expliquez-lui ce qui va se passer afin qu’il ne soit pas mis devant les faits et ainsi solliciter ses réactions d’anxiété. Dans tous les cas, le conseil ultime est de s’assurer que votre enfant dort dans un endroit convenable et sécuritaire et qu’il mange des aliments sains et de façon suffisante pour subvenir à ses besoins quotidiens. J’ajouterai, si vous-même vivez avec l’anxiété, passer à l’action dans votre propre vie pourrait être un atout considérable pour améliorer la situation chez votre enfant. L’hypnose et les outils de prise de conscience sont des moyens pouvant améliorer cet état d’anxiété, autant chez un enfant, qu’un adolescent ou un adulte. Et comme tout changement, ça demande du temps, de l’implication, de la volonté de changer et de l’engagement dans la réussite de ce changement des réflexes pour en créer de nouveau. Pour finir, voici des points importants à retenir Le stress permet de rester vigilant dans certaines situations. Il peut devenir problématique si ce stress devient anxiété et qu’il demeure ainsi dans le temps, nuisant au fonctionnement quotidien. Il est essentiel de considérer les peurs de votre enfant comme une réalité pour lui. Il vit ce qu’il ressent. Cependant, si votre enfant se fait toujours rassurer et que vous vivez toujours un coup à l’avance, l’effet inverse va se produire en alimentant l’anxiété et en créant un besoin insatiable de se faire rassurer. Faites-vous confiance, vous savez ce qui est le mieux pour lui. Parfois, tendre la main pour traverser une étape ou simplement apprendre à agir autrement peut être la solution efficace et rapide à un défi qui semble plus grand que soi. Je suis Véronique Martel Naturothérapeute praticienne Hypnose HYCIE Praticienne énergétique ParAmourHYCIE et Access Bars

  • Stress - Anxiété - Angoisse?

    Comment diminuer son stress? Tout d’abord, définissons la différence entre stress, anxiété et angoisse. Le stress est une réaction physique naturelle et normale du cerveau et du corps en réponse à une situation considérée comme dangereuse ou menaçante. L’anxiété, c’est lorsque la personne anticipe de façon négative un évènement qui pourrait survenir dans le futur. Elle fait une mise en scène des possibilités pouvant arriver si… Il est important de comprendre que l’inquiétude est ressentie même si la source du scénario est absente dans la réalité, ou ne risque pas d’arriver, car la personne anxieuse « visualise » sa peur à l’aide de son imagination et cela suffit amplement à déclencher son système d’alarme. L’angoisse est un état de nervosité générale qui se ressent physiquement. D’ailleurs souvent confondu avec des maux d’estomac, des problèmes de respiration ou même cardiaque. C’est une expérience psychologique troublante puisque l’élément déclencheur n’est pas toujours identifié à priori, mais le sentiment est fréquemment associé à un manque de contrôle sur une situation. Les solutions pour gérer stress, anxiété et angoisse Pour gérer son stress, il est important de maintenir une bonne hygiène de vie. Qu’est-ce que ça veut bien dire? Le simple fait de bien dormir, de manger des aliments sains, frais provenant de la nature donc le moins transformés possible et de faire de l’exercice sont considérés comme la base de l’hygiène de vie. J'en parle dans un article sur comment vivre mieux. Diminuer la consommation de caféine et d’alcool est aussi à considérer. Avoir un cercle d’amis, et une personne avec qui il est possible de se confier est certainement à développer si ce n’est pas votre situation. Échanger sur les tracas et pouvoir se référer à une personne de bons conseils est un pas vers la diminution du stress. La méditation et les activités de concentration telles que le yoga sont aussi des atouts qui peuvent grandement aider. Prenez-vous soin de vous-même? Prenez-vous du temps pour vous, réellement? Comme vous l'avez lu, l’anxiété est nourrie par les pensées. Si l’hygiène de vie est adéquate, vous devez vous mettre sur le changement de vos pensées. Ce qui n’est pas une mince tâche, ce qui ne veut pas dire que c’est impossible. Bien au contraire ! Le premier pas à faire est de changer les pensées négatives en pensées positives. Dresser la liste de vos pensées négatives. Trouver le positif de chacune d'elles. Garder cette liste bien en tête et dans votre poche pour la sortir au besoin. Quand vous sentez monter l’angoisse, le meilleur moyen d’arrêter ou de diminuer ces sensations, est de prendre le temps de respirer dans un endroit calme et de se questionner sur ce qui fait monter cette angoisse. Faites-le avec empathie pour vous-même et bienveillance. Certaines personnes vont s’allonger avec une couverture apaisante, d’autres vont se mettre à la table avec un cahier blanc pour écrire ce qui monte. L’angoisse demande de l’introspection, de la patience et du temps. L'anxiété, c'est comme descendre en ski une montagne dans une ligne droite et ne pas savoir comment s'arrêter. Un(e) thérapeute-praticien(ne) en hypnose, en croissance personnelle pourra certainement vous accompagner et vous guider vers l'apprentissage de la gestion du stress, de l’anxiété et de l’angoisse. Bonne prise de conscience et soyez doux avec vous. Je suis Véronique Martel Naturothérapeute praticienne hypnose HYCIE Praticienne énergie ParAmourHYCIE et Access Bars

  • Les émotions et les sentiments

    faire la différence entre émotion et sentiment est déterminant pour la suite Tout d’abord, voyons les définitions des dictionnaires et de Kevin Finel, fondateur de L’Arche en France. Selon Larousse (https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais ) Une émotion est la réaction affective transitoire d’assez grande intensité, habituellement provoquée par une stimulation venue de l’environnement. Tandis que le sentiment est un état affectif complexe et durable lié à certaines émotions ou représentations Selon Robert (https://dictionnaire.lerobert.com/) Robert quant à lui indique que l’émotion est un état affectif intense, caractérisé par de divers troubles (pâleur, accélération du pouls, etc.) Et que le sentiment est un état affectif complexe, assez stable et durable Selon Kevin Finel (Kevin Finel, K. F. (2022). Explorez les capacités de votre cerveau avec l’autohypnose. Éditions Leduc. p. 14‑15) Il explique que l’émotion est une réaction physique visant à nous faire réagir et provenant de l’extérieur. Que c’est un processus naturel et positif, dans le sens où chaque émotion a son utilité. Et qu’une émotion dure très peu de temps entre quelques secondes et quelques minutes. Le sentiment, contrairement à l’émotion, n’a pas besoin d’un déclencheur extérieur pour exister. Ce sont nos souvenirs ou notre imagination qui génère le sentiment. Une émotion vit en 3 étapes : La première est la perception par le cerveau d’un élément extérieur et le désir de réagir. Ensuite, c’est la réaction à la situation. Toutes les émotions mettent en mouvement que ce soit de rire, de pleurer, de la tension musculaire. Finalement, la dernière étape qui vise à nous aider à évacuer l’émotion. Une émotion ne doit pas rester dans le corps, sinon elle devient un sentiment. Les émotions sont utiles. Elles servent à générer une action. À la base, les émotions ne sont ni positives ni négatives. C’est un ressenti agréable ou désagréable. Il est intéressant de les relier à ce qui se passe dans le corps; la peau qui perd de la couleur, le souffle qui s’accélère, le serrement de la gorge. Ces sensations reconnues peuvent être profitables dans certains exercices de changement, de cheminement. Les émotions constituent un signal d’alarme qui peut être puissant et qui accélère la réponse à l’action. Cette urgence d’agir soulevée par les émotions peut être un mauvais guide. Si la peur fait fuir l’homme devant le danger en envoyant tout le sang de la tête vers les jambes pour lui permettre de courir, elle peut aussi vous paralyser et empêcher de passer à l’action en supposant que l'émotion ne soit possiblement pas adaptée à la vie actuelle. De fait, quand la peur prend devant une feuille d’examen, la réaction de fuir n’est pas appropriée. Il faut alors apprendre à réagir différemment. Même en tentant de se raisonner à un retour au calme, le cerveau ne fait pas marche arrière parce que l'instinct est plus fort que la raison. Parlons-en des principales émotions LA COLÈRE La colère est un système de défense. Elle nous annonce que nous vivons une frustration, une injustice ou que notre intégrité est atteinte. Pour sortir de la colère, vous vous souvenez qu’une émotion ne doit pas rester dans le corps. Alors pour sortir de cet état de colère, nous devons combler le besoin derrière. Soit d’être respecté, d'être entendu ou de vivre dans l’équité. LA PEUR La peur signale un danger, elle informe notre cerveau qu’il doit nous mettre en sécurité. Et pour revenir à un état de calme, il est essentiel de répondre aux besoins de sécurité, de se sentir protégé et à l’abri. LA TRISTESSE La tristesse se manifeste à la suite de la perte d’une personne, animal ou objet important ou à une déception, un sentiment d’impuissance. Le besoin permettant d’en sortir est le réconfort, la compassion, se sentir accompagné et soutenu. LA HONTE La honte intervient quand notre dignité est corrompue. Elle est en lien avec le contrôle de nos comportements. Pour sortir de cet état émotionnel de honte, nous avons besoin d’être reconnus, vus, appréciés, acceptés. La tolérance est une qualité importante avec cette émotion. Cette émotion est souvent considérée comme un sentiment. Je la vois à la base comme une émotion puisqu’elle survient à la suite d’un événement. Je rappelle que les émotions qui ne sont pas évacuées par le comblement du besoin deviendront des sentiments. LA JOIE La joie manifeste la satisfaction d’un désir, la réussite d’un objectif important, la réalisation d’un projet. Elle se manifeste par de la gaîté et de la bonne humeur. Elle fait vibrer l’énergie positive, la motivation et la confiance en soi. Ici tous les besoins sont comblés, mais la joie crée un besoin… Le partage. Quand je vis une joie, je souhaite et je partage cette joie avec ceux que j’aime afin qu’ils soient touchés par cette expansion positive. En connaissant les émotions de base et en pratiquant la reconnaissance de ses émotions quand vous les vivez, cela vous permet de mieux vous comprendre. Te pratiquer, ça te parle ? Se connaître permet de commencer à apprendre à s’accepter, de mieux communiquer avec notre entourage et de se mettre en action pour retrouver l’équilibre et s’aligner. Bref de vivre une vie de mieux en mieux en développant son intelligence émotionnelle. Voici un exercice pour apprendre à modifier un état émotionnel. Prenez le temps d’inspirer et d’expirer calmement pour vous concentrer. Repensez à une émotion désagréable et ressentez-la dans votre corps. Souvent quand nous sommes en colère par exemple, on le sent dans notre plexus, c’est comme un tourbillon ou une tornade interne. Maintenant que vous la ressentez, imaginez là. Cette émotion peut être en couleur. Elle peut avoir une forme ou être de taille variable, petite ou grande. À ce stade, vous ressentez l’émotion dans votre corps et elle a une forme, une taille et/ou une couleur. Visualisez-la en avant de vous, à l’extérieur de votre corps. Si on reprend la colère et son tourbillon dans votre plexus, vous savez très bien que vous n’avez pas de tourbillon réel dans votre corps. Donc, les effets de l’émotion sont en quelque sorte le fruit de l’imagination. En ce sens, si vous êtes capable de créer ce phénomène en vous, vous êtes aussi capable de le reproduire devant vous. Prenez le temps nécessaire. Il est temps d’éloigner cette émotion qui est devant vous. De plus en plus jusqu’à ce qu’elle soit loin loin loin… Alors qu’elle est minuscule et éloignée de vous, que vous vous sentez plus léger, je vous invite à penser à quelque chose que vous aimez : un objet, un visage, une odeur… Et de le mettre à l’endroit où était votre émotion dans votre corps afin qu’elle n’ait plus de place pour revenir. Faites cet exercice aussi souvent que possible. L’entraînement va procurer de nouveaux chemins vers de nouveaux comportements et les émotions ne prendront plus TROP de place puisque vous pourrez mieux les gérer. Voilà une première action que vous choisissez pour être de plus en plus dans une émotion de joie. L’hypnose telle que cet exercice d’autohypnose oui ! oui ! est un moyen de parvenir à des changements. Jumelé à un accompagnement et à l’enseignement d'outils qui affecteront votre imaginaire, votre vie changera un peu, beaucoup, à la folie ou pas du tout! Ça dépend de toi et de ton engagement à vouloir changer certains aspects en toi. À votre bonheur Je suis Véronique Naturothérapeute praticienne hypnose HYCIE Praticienne énergie ParAmourHYCIE, Access Bars

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